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Greer et Cameron sont deux tueurs. Mais évidemment, comme on est chez Brautigan, ce ne sont pas des tueurs ordinaires : ce sont d’improbables bras cassés aux caractères aussi simples que différents. Greer, ours mal léché à l’esprit afûté d’un côté, Cameron, lent et obsessionnel au point de tout compter tout le temps, de l’autre. Alors qu’ils sont tranquillement installés dans un bordel, une jeune indienne, Magic Child, vient les brancher. Elle a besoin de leur aide pour tuer le monstre qui terrorise Miss Hawkline. Magic Child est une fausse indienne, mais c’est une bombe sexuelle, alors ils la suivent…
Ce n’est sans doute pas le livre le plus réussi de Brautigan. On n’y trouvera ni la poésie de Tokyo Montana Express, ni l’humour acide de The Abortion, ni la déjante de totale de Willard… (déjà critiqué plus tôt dans ces pages).
Cela n’empêche pas de rire, et de bon cœur qui plus est, à la lecture des pérégrination fantastico-loufoques de ces deux losers si attachants, qui traverseront la moitié d’une Amérique aussi fantasmée que fantasque pour finir, tout de même, par être confrontés à une question aussi existentielle que Comment tuer un bocal ? !
Contrairement à ce qu’annonce le titre, il ne s’agit ni de western, ni de gothique. Il s’agit d’un roman de Brautigan, par conséquent cela implique deux engagements essentiels de la part du lecteur : éprouver le besoin de se divertir, et, pour ce faire, laisser son cerveau au vestiaire. A partir de là, le rire est assuré, et l’Appellation Roman Hilarant est d’Origine Contrôlée par l’ancien chroniqueur d’ « Amour, Gloire & Beauté », lequel s’engage à vous rembourser l’achat du livre si vous parvenez à ne pas sourire une seule fois durant cette lecture. Mais rassurez-vous : si je dis ça, c’est que je suis sûr de mon coup.
Greer et Cameron sont deux tueurs. Mais évidemment, comme on est chez Brautigan, ce ne sont pas des tueurs ordinaires : ce sont d’improbables bras cassés aux caractères aussi simples que différents. Greer, ours mal léché à l’esprit afûté d’un côté, Cameron, lent et obsessionnel au point de tout compter tout le temps, de l’autre. Alors qu’ils sont tranquillement installés dans un bordel, une jeune indienne, Magic Child, vient les brancher. Elle a besoin de leur aide pour tuer le monstre qui terrorise Miss Hawkline. Magic Child est une fausse indienne, mais c’est une bombe sexuelle, alors ils la suivent…
Ce n’est sans doute pas le livre le plus réussi de Brautigan. On n’y trouvera ni la poésie de Tokyo Montana Express, ni l’humour acide de The Abortion, ni la déjante de totale de Willard… (déjà critiqué plus tôt dans ces pages).
Cela n’empêche pas de rire, et de bon cœur qui plus est, à la lecture des pérégrination fantastico-loufoques de ces deux losers si attachants, qui traverseront la moitié d’une Amérique aussi fantasmée que fantasque pour finir, tout de même, par être confrontés à une question aussi existentielle que Comment tuer un bocal ? !
Contrairement à ce qu’annonce le titre, il ne s’agit ni de western, ni de gothique. Il s’agit d’un roman de Brautigan, par conséquent cela implique deux engagements essentiels de la part du lecteur : éprouver le besoin de se divertir, et, pour ce faire, laisser son cerveau au vestiaire. A partir de là, le rire est assuré, et l’Appellation Roman Hilarant est d’Origine Contrôlée par l’ancien chroniqueur d’ « Amour, Gloire & Beauté », lequel s’engage à vous rembourser l’achat du livre si vous parvenez à ne pas sourire une seule fois durant cette lecture. Mais rassurez-vous : si je dis ça, c’est que je suis sûr de mon coup.
👍 The Hawkline Monster : A Gothic Western [Le Monstre des Hawkline]
Richard Brautigan | Simon & Schuster, 1974