...
Eh bien voilà. C'est fait. Ça devait arriver. Je le craignais depuis plusieurs semaines déjà. Je l'avais même prédit ! Ah... comme j'aurais aimé avoir tort sur ce coup-là. Pas toujours facile d'être Monsieur Raison.
Donc nous y sommes. Sarkozy a changé. Sarkozy s'est calmé. Sarkozy a décidé de devenir Président de la République. Adieu Ray-Ban, byebye Rolex. La mode bling-bling n'aura pas duré un an. Vous me direz : c'est le principe des modes. Ces trucs-là sont saisonniers. Soit, mais quand même : on pouvait raisonnablement espérer que l'histoire retiendrait cette saga estivale, puis automnale puis hivernale. Raté : dans cinq ans le bling-bling, on l'aura tous oublié. On ne saura même plus ce que ça veut dire. C'est pour ça que je vous en parle : je voulais marquer le coup. D'autant que si Sarkozy se décide subitement à gouverner... non seulement ce sera moins marrant, mais en plus ce sera pire. La fin d'une époque : ni plus ni moins. L'écran de fumée dissipé les français vont se rendre compte que la politique gouvernementale est catastrophique. Ils vont déprimer. Contingent militaire par-ci... plan de rigueur par-là... et pensez-vous que Sarkozy viendra leur remonter le moral en paradant sur son yacht ? Que dalle : il ira yachter, toujours, mais en cachette.
Le plus malheureux de l'histoire étant sans doute François Fillon. Le pauvre, on l'aimait bien. Il était sympa, à côté de son patron il faisait limite janséniste, c'était cool. Il se bâtissait sa réputation d'anti-Sarkozy, il commençait à y croire... et voilà qu'il apprend dépité que Sarkozy a décidé de devenir Président. Et que par extension lui va devenir Premier Ministre. Comprenez par-là qu'il va en prendre plein la gueule dans les six mois à venir.
Moi, à sa place, j'aurais démissionné. Juste histoire d'emmerder Sark...Sar...Sakoz...Sa...Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy...
...oups, excusez-moi, j'ai bugué. Ce afin de souhaiter la bienvenue dans la blogosphère à notre nouvel ami, Nicolas Princen, que les journalistes surnomment déjà le Big Brother de Sarkozy. Pauvre garçon ! On le plaint plutôt qu'autre chose - pensez donc : le jeune homme aurait pour mission de se rencarder sur le moindre petit buzz entourant Sarkozy sur le net. On se demande ce qu'il a fait pour mériter un tel châtiment (à part compter les galets sur la plage du Havre je vois difficilement plus atroce). Soyons donc un peu sport, et souhaitons bonne chance à Nicolas (qui d'ailleurs, du coup, fait plus le buzz que son propre patron cette semaine). Si l'on considère le nombre de fois où le mot Sarkozy apparaît sur ce seul blog... on peut tout à fait supposer que Nicolas aura pris dix ans sous six mois. Courage, camarade ! Nous sommes tous avec vous.
(vous pouvez laisser un petit com quand vous passerez hein, ça fait toujours plaisir)
(je précise que je ne suis pas un dangereux agitateur, quand même, hein - juste au cas où...)
(au pire je rédigerai le prochain édito depuis Pékin - paraît que de là-bas les infos filtrent beaucoup moins facilement que par-ici)
Eh bien voilà. C'est fait. Ça devait arriver. Je le craignais depuis plusieurs semaines déjà. Je l'avais même prédit ! Ah... comme j'aurais aimé avoir tort sur ce coup-là. Pas toujours facile d'être Monsieur Raison.
Donc nous y sommes. Sarkozy a changé. Sarkozy s'est calmé. Sarkozy a décidé de devenir Président de la République. Adieu Ray-Ban, byebye Rolex. La mode bling-bling n'aura pas duré un an. Vous me direz : c'est le principe des modes. Ces trucs-là sont saisonniers. Soit, mais quand même : on pouvait raisonnablement espérer que l'histoire retiendrait cette saga estivale, puis automnale puis hivernale. Raté : dans cinq ans le bling-bling, on l'aura tous oublié. On ne saura même plus ce que ça veut dire. C'est pour ça que je vous en parle : je voulais marquer le coup. D'autant que si Sarkozy se décide subitement à gouverner... non seulement ce sera moins marrant, mais en plus ce sera pire. La fin d'une époque : ni plus ni moins. L'écran de fumée dissipé les français vont se rendre compte que la politique gouvernementale est catastrophique. Ils vont déprimer. Contingent militaire par-ci... plan de rigueur par-là... et pensez-vous que Sarkozy viendra leur remonter le moral en paradant sur son yacht ? Que dalle : il ira yachter, toujours, mais en cachette.
Le plus malheureux de l'histoire étant sans doute François Fillon. Le pauvre, on l'aimait bien. Il était sympa, à côté de son patron il faisait limite janséniste, c'était cool. Il se bâtissait sa réputation d'anti-Sarkozy, il commençait à y croire... et voilà qu'il apprend dépité que Sarkozy a décidé de devenir Président. Et que par extension lui va devenir Premier Ministre. Comprenez par-là qu'il va en prendre plein la gueule dans les six mois à venir.
Moi, à sa place, j'aurais démissionné. Juste histoire d'emmerder Sark...Sar...Sakoz...Sa...Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy Sakorzy...
...oups, excusez-moi, j'ai bugué. Ce afin de souhaiter la bienvenue dans la blogosphère à notre nouvel ami, Nicolas Princen, que les journalistes surnomment déjà le Big Brother de Sarkozy. Pauvre garçon ! On le plaint plutôt qu'autre chose - pensez donc : le jeune homme aurait pour mission de se rencarder sur le moindre petit buzz entourant Sarkozy sur le net. On se demande ce qu'il a fait pour mériter un tel châtiment (à part compter les galets sur la plage du Havre je vois difficilement plus atroce). Soyons donc un peu sport, et souhaitons bonne chance à Nicolas (qui d'ailleurs, du coup, fait plus le buzz que son propre patron cette semaine). Si l'on considère le nombre de fois où le mot Sarkozy apparaît sur ce seul blog... on peut tout à fait supposer que Nicolas aura pris dix ans sous six mois. Courage, camarade ! Nous sommes tous avec vous.
(vous pouvez laisser un petit com quand vous passerez hein, ça fait toujours plaisir)
(je précise que je ne suis pas un dangereux agitateur, quand même, hein - juste au cas où...)
(au pire je rédigerai le prochain édito depuis Pékin - paraît que de là-bas les infos filtrent beaucoup moins facilement que par-ici)
SARKO CHEZ LA REINE :