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White Stripes ? Dirtbombs ? Von Bondies ? Aux oubliettes. Le meilleur groupe américain de 2008 sera sans conteste Brimstone Howl, quatuor du Nebraska déjà auteur l'an passé d'un excellent debut produit par Dan "Black Keys" Auerbach : Guts of Steel. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'en un an, les jeunes espoirs ont pris une dimension si considérable que dans un monde réellement concerné par le rock'n'roll personne jamais ne pourrait plus les ignorer.
Pied au plancher et enceintes poussées au maximum, We Came in Peace s'avale d'une traite et propose à peu près tout ce que la concurrence R&R contemporaine ne propose finalement que très rarement (sinon pas du tout) : urgence, sueur, danger, riffs déments (celui de "Child of Perdition" est assez imparable), son débridé et hymnes aussi puissants que jamais putassiers (« Summer of Pain », « Shangri-La »). Convoquant les fantômes du Velvet, des Ramones et des Stooges (lesquels ne sont pas morts, en fait, mais bon...) le groupe du chamanique John Ziegler sonne la charge, porté par une section rythmique éblouissante... chaos debout qu'il en ressort, le golber. Pour vous dire : au bout de deux écoutes We Came in Peace avait déjà supplanté l'indéboulonnable Real Emotionnal Trash (Stephen Malkmus & Jicks) au titre d'album GOLB de l'année... et depuis lors, à chaque nouveau passage, il conforte un peu plus sa position. Et c'est bien parce qu'on n'emploie quasiment jamais ces mots par ici qu'on est aujourd'hui très fier de vous dire, chers lecteurs, chers amis : We Came in Peace, de Brimstone Howl, est un chef-d'œuvre - vous savez ce qu'il vous reste à faire.
White Stripes ? Dirtbombs ? Von Bondies ? Aux oubliettes. Le meilleur groupe américain de 2008 sera sans conteste Brimstone Howl, quatuor du Nebraska déjà auteur l'an passé d'un excellent debut produit par Dan "Black Keys" Auerbach : Guts of Steel. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'en un an, les jeunes espoirs ont pris une dimension si considérable que dans un monde réellement concerné par le rock'n'roll personne jamais ne pourrait plus les ignorer.
Pied au plancher et enceintes poussées au maximum, We Came in Peace s'avale d'une traite et propose à peu près tout ce que la concurrence R&R contemporaine ne propose finalement que très rarement (sinon pas du tout) : urgence, sueur, danger, riffs déments (celui de "Child of Perdition" est assez imparable), son débridé et hymnes aussi puissants que jamais putassiers (« Summer of Pain », « Shangri-La »). Convoquant les fantômes du Velvet, des Ramones et des Stooges (lesquels ne sont pas morts, en fait, mais bon...) le groupe du chamanique John Ziegler sonne la charge, porté par une section rythmique éblouissante... chaos debout qu'il en ressort, le golber. Pour vous dire : au bout de deux écoutes We Came in Peace avait déjà supplanté l'indéboulonnable Real Emotionnal Trash (Stephen Malkmus & Jicks) au titre d'album GOLB de l'année... et depuis lors, à chaque nouveau passage, il conforte un peu plus sa position. Et c'est bien parce qu'on n'emploie quasiment jamais ces mots par ici qu'on est aujourd'hui très fier de vous dire, chers lecteurs, chers amis : We Came in Peace, de Brimstone Howl, est un chef-d'œuvre - vous savez ce qu'il vous reste à faire.
👍👍👍 à écouter en priorité : "Summer of Pain", "Easy to Dream" & "Firewalk"
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