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A ma droite : Willie Nelson, légende de la country, toujours hyperprolifique en dépit de ses soixante-quinze ans, grand amoureux de jazz comme en témoigne son magnifique et incontournable Stardust.
A ma gauche : Wynton Marsalis, trompettiste surdoué à qui l'on reproche souvent (à raison) son côté consensuel mais qui, il faut bien le reconnaître, demeure un foutu musicien.
Au milieu : le blues (évidemment), un public conquis, des standards à en pleuvoir (« Bright Lights, Big City », « Georgia on My Mind »...), une atmosphère feutrée et intimiste comme on aime, une musique élégante et racée jetant tous les ponts possibles et imaginables entre country / jazz / blues et même un peu classique (mais pas trop, juste assez pour rester dignes).
On en demandait pas plus : court, chaleureux, humain, Two Men with the Blues est sans conteste l'un des très beaux albums de l'année, de ceux qu'on peut offrir aussi bien à son amoureuse qu'à sa mère (crossover rarissime et donc dangereux). Les deux ont l'élégance discrète de ceux à qui rien ne peut arriver, les lecteurs du Times pleurent de joie... nous aussi!
👍👍 à écouter en priorité : "Bright Lights, Big City" & "Ain't Nobody's Business"
A ma droite : Willie Nelson, légende de la country, toujours hyperprolifique en dépit de ses soixante-quinze ans, grand amoureux de jazz comme en témoigne son magnifique et incontournable Stardust.
A ma gauche : Wynton Marsalis, trompettiste surdoué à qui l'on reproche souvent (à raison) son côté consensuel mais qui, il faut bien le reconnaître, demeure un foutu musicien.
Au milieu : le blues (évidemment), un public conquis, des standards à en pleuvoir (« Bright Lights, Big City », « Georgia on My Mind »...), une atmosphère feutrée et intimiste comme on aime, une musique élégante et racée jetant tous les ponts possibles et imaginables entre country / jazz / blues et même un peu classique (mais pas trop, juste assez pour rester dignes).
On en demandait pas plus : court, chaleureux, humain, Two Men with the Blues est sans conteste l'un des très beaux albums de l'année, de ceux qu'on peut offrir aussi bien à son amoureuse qu'à sa mère (crossover rarissime et donc dangereux). Les deux ont l'élégance discrète de ceux à qui rien ne peut arriver, les lecteurs du Times pleurent de joie... nous aussi!
👍👍 à écouter en priorité : "Bright Lights, Big City" & "Ain't Nobody's Business"