Lieu commun numéro 1 : Live at Leeds est le meilleur disque des Who.
Lieu commun numéro 2 : Live at Leeds est le dernier chef-d'œuvre des Who. Après ça ce ne sera pas forcément toujours mauvais (qui a dit Quadrophenia ???), ce ne sera pas toujours bon non plus... ce sera toujours différent.
Lieu commun numéro 3 : la dernière réédition (2001) featuring la version intégrale de Tommy n'a aucun intérêt (à ce tarif-là dans dix ans Live at Leeds s'intitulera The Who & Friends Live at Leeds & London in the World era 1970-76). La version originale (sept titres) est plus que recommandée. La version 1995 (double dose) est essentielle.
Lieu commun numéro 4 : Live at Leeds, symboliquement, c'est LE premier disque des années soixante-dix. Il en contient à la fois le charme et les excès, préfigure le meilleur ("Substitute", "Fortune Teller" et - évidemment "I Can't Explain" - que le Clash lui-même recyclera sept ans plus tard) comme le pire (tout le prog-rock n'est-il pas contenu en germe dans le paradoxalement excellent "Magic Bus" ?)
Lieu commun numéro 5 : Keith Moon rayonne de mille feux ("A Quick One, While He's Away") sur le meilleur album du meilleur batteur de toute l'histoire du rock des albums des lives et même des batteurs.
Lieu commun subsidiaire : Live at Leeds est le meilleur live de tous les temps, selon qu'on a récemment écouté (ou non) No Sleep 'til Hammersmith. Quoiqu'il en soit Live at Leeds demeure indispensable à toute discographie digne de ce nom (même la mienne, qui suit pourtant bien loin d'être inconditionnel du groupe). Si vous ne l'avez pas autant l'acheter de suite avant de prétendre (fut-ce une seconde pour déconner) connaître quelque chose à la musique, au rock et même aux batteries.
Lieu commun conclusif : écoute ça motherfucker !
Lieu commun numéro 2 : Live at Leeds est le dernier chef-d'œuvre des Who. Après ça ce ne sera pas forcément toujours mauvais (qui a dit Quadrophenia ???), ce ne sera pas toujours bon non plus... ce sera toujours différent.
Lieu commun numéro 3 : la dernière réédition (2001) featuring la version intégrale de Tommy n'a aucun intérêt (à ce tarif-là dans dix ans Live at Leeds s'intitulera The Who & Friends Live at Leeds & London in the World era 1970-76). La version originale (sept titres) est plus que recommandée. La version 1995 (double dose) est essentielle.
Lieu commun numéro 4 : Live at Leeds, symboliquement, c'est LE premier disque des années soixante-dix. Il en contient à la fois le charme et les excès, préfigure le meilleur ("Substitute", "Fortune Teller" et - évidemment "I Can't Explain" - que le Clash lui-même recyclera sept ans plus tard) comme le pire (tout le prog-rock n'est-il pas contenu en germe dans le paradoxalement excellent "Magic Bus" ?)
Lieu commun numéro 5 : Keith Moon rayonne de mille feux ("A Quick One, While He's Away") sur le meilleur album du meilleur batteur de toute l'histoire du rock des albums des lives et même des batteurs.
Lieu commun subsidiaire : Live at Leeds est le meilleur live de tous les temps, selon qu'on a récemment écouté (ou non) No Sleep 'til Hammersmith. Quoiqu'il en soit Live at Leeds demeure indispensable à toute discographie digne de ce nom (même la mienne, qui suit pourtant bien loin d'être inconditionnel du groupe). Si vous ne l'avez pas autant l'acheter de suite avant de prétendre (fut-ce une seconde pour déconner) connaître quelque chose à la musique, au rock et même aux batteries.
Lieu commun conclusif : écoute ça motherfucker !
👍👍👍 Live at Leeds
The Who | Track Records/Geffen, 1970
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