Il n'étonnera aucun lecteur de ce blog que je sois venu à Stephan Eicher via Philippe Djian. Il fallait au moins tout le talent de l'auteur d'Echines pour m'amener à passer du côté obscur de la force, à écouter un chanteur qu'en dépit de son profil cosmopolite on croisait bel et bien dans les bacs variétés françaises de la Fnac de Rouen (je ne m'avancerai pas concernant les autres). Ca me semblait presqu'incongru : Djian, c'était un peu le rebelle, le gars qui aimait le rock'n'roll et les romans noirs... qu'est-ce qu'il pouvait bien foutre avec un mec qui passait à la radio et même pire : à la télé ?
(j'ignorais évidemment à l'époque que Djian passait lui aussi à la télé, et pour cause : de télé, je n'avais point)
A ma décharge j'étais jeune, je ne connaissais quasiment rien d'Eicher (peut-être un ou deux tubes, auxquels il convient d'ajouter ce clip ridicule où il monte à cheval). Et, comme raconté précédemment, à dix-huit ans j'écoutais très peu de musique francophone (quelque part le trou médiatique béant dans lequel fut plongé le rock entre 1997 et 2001 m'a bien aidé - ça m'a contraint à écouter autre chose). Force de l'habitus néanmoins... je me rappelle d'une première écoute laborieuse, Louanges étant un album assez subtil se prêtant mal à une écoute distraite. La voix était agaçante, les arrangements celtiques encore plus (s'il y a bien une chose qui n'a jamais bougé d'un poil dans mon rapport à la musique c'est bien cette aversion pour les binious et cornemuses)... pire encore : je me souviens d'avoir trouvé les textes, c'est-à-dire ce pourquoi j'étais venu, particulièrement fades. Je ne considérais pas encore à l'époque qu'en matière de chanson le plus court chemin était bien souvent le meilleur, que la meilleure manière d'exprimer des choses universelles était d'user de mots simples et directs... comme tout type de dix-huit ans se respectant j'étais en fait intimement convaincu quune chanson, c'était juste de la poésie avec de la musique, t'vois, mec (jeune fan de Saez, cette chronique t'est dédiée).
C'est ici que je me rends compte d'à quel point c'était il y a longtemps. Beaucoup de choses ont changé depuis 1999, et pas uniquement dans mon rapport à la musique, mais dans mon rapport à à peu près tout. Le cas des textes de Djian sur cet album est en fait très représentatif de cette rubrique dans son ensemble - car je trouve aujourd'hui que leur simplicité confine à la pureté. "Si douces sont / Tes ficelles / Si lisses sont / Tes façons", c'est une suite d'allitérations de niveau lycée dans l'absolu. Mais dans le cadre d'une chanson où la voix délicate la fait glisser sur une musique minimaliste, c'est juste remarquable.
Idem en ce qui concerne le volet musical de l'affaire : en 1999, je n'avais qu'une très vague idée de ce que signifiaient les termes son et production. Une chanson c'était pour moi un texte, une mélodie, une voix... un riff de temps en temps (mais même pas toujours). Et puis une émotion à la fin, évidemment. Un seul degré de lecture. Il y a de ce point de vue dans Louanges beaucoup de choses que je n'étais pas à même de capter à l'époque, dans le bon comme dans le mauvais sens. Le bon étant l'extrême finesse des arrangements ("Ce peu d'amour", "Hell's Kitchen", ou évidemment "Venez danser"... que j'adorais déjà alors, mais dont je n'entendais finalement que des bribes), le mauvais étant... deux titres franchement lourds en milieu d'album, voire carrément de mauvais goût en ce qui concerne "Le même nez"), le genre de choses qu'on trouve toujours à un moment sur un album d'Eicher, dont je me dis souvent qu'il est un drôle d'oiseau ; un formidable folk-singer ne faisant quasiment jamais de folk, allant souvent chercher les choses compliquées alors qu'il excellence (Cf. "Clear My Throat") dans la simplicité... un peu l'inverse de son parolier, en fait.
En réécoutant cet album aujourd'hui (ce que je ne fais que rarement, je dois bien l'admettre - faut dire que je le connais par cœur et l'ai en jukebox mental permanent), je me dis que quelque part l'école faillit quand même beaucoup dans l'enseignement de la culture (vous pouvez marquer ce jour d'une pierre blanche, oui : je viens bien d'écrire cette phrase que vous venez bien de lire). On nous apprend à lire. Il arrive au détour d'une sortie musée qu'on nous apprenne quelques rudiments pour regarder. Mais jamais... jamais personne n'a essayé de m'apprendre à écouter. Le mélomane est de loin le type qui se perd le plus souvent et le plus durablement dans son parcours. Lorsqu'on commence à écouter de la musique, on a rien. Pas de bases, pas d'idées, pas de goût. Comment s'étonner que les gens se gavent de cochonneries à la radio ? Que ce soit de loin (et plus encore en France) le domaine le plus sclérosé par les abominations formatées et autres horreurs putassières ? Tout le monde écoute de la musique, mais une écrasante majorité des gens n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique. Je me suis souvent demandé pourquoi parmi mes amis certains étaient de fins lettrés tout en ayant très mauvais goût musical. Subitement, je viens de comprendre : on n'est pas du tout armé pour affronter la musique... elle est partout, mais comme on ne nous a jamais appris à l'écouter, seul le passionné trouve le moyen de la découvrir réellement...
Oui... aussi bizarre que ça puisse paraître, ce bel album de Stephan Eicher m'a fait penser à tout ça ! Sans doute parce que par naïveté et par inculture au moins autant que par préjugé, j'ai failli passer à côté comme je suis probablement alors passé à côté de beaucoup d'autres.
(j'ignorais évidemment à l'époque que Djian passait lui aussi à la télé, et pour cause : de télé, je n'avais point)
A ma décharge j'étais jeune, je ne connaissais quasiment rien d'Eicher (peut-être un ou deux tubes, auxquels il convient d'ajouter ce clip ridicule où il monte à cheval). Et, comme raconté précédemment, à dix-huit ans j'écoutais très peu de musique francophone (quelque part le trou médiatique béant dans lequel fut plongé le rock entre 1997 et 2001 m'a bien aidé - ça m'a contraint à écouter autre chose). Force de l'habitus néanmoins... je me rappelle d'une première écoute laborieuse, Louanges étant un album assez subtil se prêtant mal à une écoute distraite. La voix était agaçante, les arrangements celtiques encore plus (s'il y a bien une chose qui n'a jamais bougé d'un poil dans mon rapport à la musique c'est bien cette aversion pour les binious et cornemuses)... pire encore : je me souviens d'avoir trouvé les textes, c'est-à-dire ce pourquoi j'étais venu, particulièrement fades. Je ne considérais pas encore à l'époque qu'en matière de chanson le plus court chemin était bien souvent le meilleur, que la meilleure manière d'exprimer des choses universelles était d'user de mots simples et directs... comme tout type de dix-huit ans se respectant j'étais en fait intimement convaincu quune chanson, c'était juste de la poésie avec de la musique, t'vois, mec (jeune fan de Saez, cette chronique t'est dédiée).
C'est ici que je me rends compte d'à quel point c'était il y a longtemps. Beaucoup de choses ont changé depuis 1999, et pas uniquement dans mon rapport à la musique, mais dans mon rapport à à peu près tout. Le cas des textes de Djian sur cet album est en fait très représentatif de cette rubrique dans son ensemble - car je trouve aujourd'hui que leur simplicité confine à la pureté. "Si douces sont / Tes ficelles / Si lisses sont / Tes façons", c'est une suite d'allitérations de niveau lycée dans l'absolu. Mais dans le cadre d'une chanson où la voix délicate la fait glisser sur une musique minimaliste, c'est juste remarquable.
Idem en ce qui concerne le volet musical de l'affaire : en 1999, je n'avais qu'une très vague idée de ce que signifiaient les termes son et production. Une chanson c'était pour moi un texte, une mélodie, une voix... un riff de temps en temps (mais même pas toujours). Et puis une émotion à la fin, évidemment. Un seul degré de lecture. Il y a de ce point de vue dans Louanges beaucoup de choses que je n'étais pas à même de capter à l'époque, dans le bon comme dans le mauvais sens. Le bon étant l'extrême finesse des arrangements ("Ce peu d'amour", "Hell's Kitchen", ou évidemment "Venez danser"... que j'adorais déjà alors, mais dont je n'entendais finalement que des bribes), le mauvais étant... deux titres franchement lourds en milieu d'album, voire carrément de mauvais goût en ce qui concerne "Le même nez"), le genre de choses qu'on trouve toujours à un moment sur un album d'Eicher, dont je me dis souvent qu'il est un drôle d'oiseau ; un formidable folk-singer ne faisant quasiment jamais de folk, allant souvent chercher les choses compliquées alors qu'il excellence (Cf. "Clear My Throat") dans la simplicité... un peu l'inverse de son parolier, en fait.
En réécoutant cet album aujourd'hui (ce que je ne fais que rarement, je dois bien l'admettre - faut dire que je le connais par cœur et l'ai en jukebox mental permanent), je me dis que quelque part l'école faillit quand même beaucoup dans l'enseignement de la culture (vous pouvez marquer ce jour d'une pierre blanche, oui : je viens bien d'écrire cette phrase que vous venez bien de lire). On nous apprend à lire. Il arrive au détour d'une sortie musée qu'on nous apprenne quelques rudiments pour regarder. Mais jamais... jamais personne n'a essayé de m'apprendre à écouter. Le mélomane est de loin le type qui se perd le plus souvent et le plus durablement dans son parcours. Lorsqu'on commence à écouter de la musique, on a rien. Pas de bases, pas d'idées, pas de goût. Comment s'étonner que les gens se gavent de cochonneries à la radio ? Que ce soit de loin (et plus encore en France) le domaine le plus sclérosé par les abominations formatées et autres horreurs putassières ? Tout le monde écoute de la musique, mais une écrasante majorité des gens n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique. Je me suis souvent demandé pourquoi parmi mes amis certains étaient de fins lettrés tout en ayant très mauvais goût musical. Subitement, je viens de comprendre : on n'est pas du tout armé pour affronter la musique... elle est partout, mais comme on ne nous a jamais appris à l'écouter, seul le passionné trouve le moyen de la découvrir réellement...
Oui... aussi bizarre que ça puisse paraître, ce bel album de Stephan Eicher m'a fait penser à tout ça ! Sans doute parce que par naïveté et par inculture au moins autant que par préjugé, j'ai failli passer à côté comme je suis probablement alors passé à côté de beaucoup d'autres.
👍👍 Louanges
Stephan Eicher | Virgin, 1999
Tiens j'ai moi aussi rédécouvert cet artiste, que je rangeais dans la catégorie des ringards dans ma jeunesse imbécile.
RépondreSupprimerC'est vrai que le gout de la simplicité en musique, est quelque chose qui vient sur le tard. On se gave d'abord de solos Slashiens avant d'apprécier les arpèges d'Alela Diane...
RépondreSupprimerConcernat eicher, et bien que les rares chansons que j'ai entendu de lui m'aient plu, je ne suis pas encore passé du coté obscur...
J'ai toujours aimé les chansons de ce suisse cosmopolite, même les plus variétoches.
RépondreSupprimerEn plus il est drôle et finaud et son air de saltimbanque fait le reste sur mon coeur de midinette (je rappelle que j'ai vraiment dansé sur SLY...)
Découvrir qui chantait "two people in a room" est la seule chose positive que je retiens de la fréquentation d'un certain garçon(au demeurant fort beau mais vraiment trop compliqué) à la fin de mon adolescence...
Un jour, peut-être, arriverai-je à Djian par Stephan Eicher...
Michel >>> n'accable pas trop ta jeunesse, nombreux sont ceux (bien plus âgés que toi) qui, face à Eicher, restent dans ce cliché.
RépondreSupprimerXavier >>> allons mon petit, tends la main... tu ne comprends donc pas que je suis ton...
La Trollette >>> je ne suis même pas certain qu'il est vraiment commis des chansons "variétoches". En fait, c'est toujours un peu comme ça, en France : si tu fais un disque relativement pop, chanté partiellement ou intégralement en français, et que personne n'achète, tu es pop. Si le succès est relatif, tu es chanson. Si le succès est considérable, tu es variété. Mais c'est toujours le même disque.
ah oué? On aime les cases en France?!
RépondreSupprimerJ'avais jamais remarqué....
;oD
Stephan qui ?
RépondreSupprimerDésolé, vous dépassez mes compétences.
C'est intéressant Stephan Eicher ?
Depuis quand ?
BBB.
La Trollette >>> c'est peut-être juste une rumeur, hein :-D
RépondreSupprimerBBB. >>> depuis 1980 et Graüzone, au moins.
Et pas un mot sur le premier groupe de Stephan avec son frérot dans les années 80? Grauzone! Avec le morceau cultissime Eisbar!
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=cTuTc_liKS4
Ce titre, à chaque soirée new wave/année 80, on le ressort, c'est la folie A CHAQUE FOIS ^^
(oups j'avais pas vu que tu l'avais évoqué juste au-dessus de mon commentaire, autant pour moi, vais me flageller avec des spaghéttis trop cuits)
RépondreSupprimerN'en ai-je pas parlé au commentaire juste avant ? ;-)
RépondreSupprimerEt moi j'avais pas venu que tu venais de le voir :-D
RépondreSupprimer(pas venu ? pas vu !)
RépondreSupprimeroui enfin y a pas de fumée sans feu... je dis ça je dis rien...
RépondreSupprimer*part en sifflotant*
Aussi étrange que ça puisse paraître, tout n'est effectivement pas à jeter chez Eicher (par contre c'est obscur - ? - et on ne peut pas dire que ce qui est diffusé en France soit le meilleur).
RépondreSupprimerRavie que tu parles de Grauzone, je venais justement l'évoquer histoire de jouer ma chieuse amatrice d'indus. Je repars ==>
;)
Bonne soirée !
Oui oui, je sais ce que c'est, Grauzone c'est la petite référence snob-mais-pas-trop-puisque-c'est-Eicher qui passe toujours bien en soirée :-D
RépondreSupprimerA +
Finalement, ce qui est bien avec SE c'est qu'on ne sait ni dans quel bac le ranger à la fnac, ni sur quelle radio le programmer depuis qu'il a laissé tombé (malgré lui p-ê ;-)les hits et que R&F pour ne citer que ce maga rock fait, depuis longtemps ,comme si il n'existait pas, tt simplement. Qq part, ce garçon, entre profondeur et humour, toujours sur les frontières (pop, rock, folk, français,anglais suisse allemand...) est un sans papiers de la musique; il énerve sans doute ceux qui veulent cloisonner les musiciens dans des cases trop définies. j'aime bcp tt ce qu'il t'inspire, notamment l'art des rimes vers la simplicité
RépondreSupprimerEuh... je crois que tu fais erreur : j'ai lu des chroniques de la plupart des albums récents d'Eicher dans R&F...
RépondreSupprimersi tu peux mettre la main sur le dernier, cela m'intéresse (mais je crois bien qu'ils ont fait l'impasse)
RépondreSupprimerOui alors là... tu m'en demandes un peu trop, désolé :-)
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerje découvre par pur hasard ce blog, moi qui ne suis pas du tout coutumier des blogs. Mais, là, non seulement, j'ai lu la page mais j'ai eu envie de laisser un commentaire.
J'ai également re-découvert Stephan Eicher par hasard non via Philippe Djian, mais alors que j'étais à la fac, par un ami : "Carcassonne" était alors son dernier opus.
Je ne le connaissais que par ce que les radios avaient bien voulu nous distiller jusque là.
Mais, à l'époque de "Carcassone", je traversais une mauvaise passe sentimentale, et je retrouvais dans ses chansons tant de sentiments que j'éprouvais, que je l'écoutais pratiquement en boucle et ce, en priant mon voisin de piaule d'étudiant de repasser l'album encore et encore.
Je suis devenu un adepte. Je redécouvre régulièrement de nouvelles perspectives dans sa musique. C'est quelque chose d'agréable. Je rejoins tout à fait cette vision de la simplicité des paroles. cela n'empêche en rien, bien au contraire, de donner au message qu'elles véhiculent, une force d'évocation, d'imagination et de poésie. J'aime beaucoup.
J'ai eu l'occasion de le voir à Taratata, alors qu'il est plutôt discrêt à la TV (volontairement je n'ai sais rien) : il évoquait sa voix. Le fait de chanter dans plusieurs langues, lui confère une palette vocale élargie. On aime ou on n'aime pas : certains diront que ses albums se ressemblent par leur contenu (des chansons en français, d'autres en anglais et une ou 2 en suisse romand qui apportent une touche folklo décalée). Cependant, ce sont des albums qu'il faut, et je suis à 200% d'accord, réécouter à différents moments pour en retirer à chaque fois un nouveau sentiment, une nouvelle vision, un autre son, une nouvelle signification des paroles.
David
entièrement d'accord avec TOUT ce que tu as dit. je plains aussi les jeunes de tout mon coeur pour ce qu'on leur sert. moi j'écoute beaucoup de musique savante (jazz, baroque, contemporain) et moi aussi je n'écoute que très très peu de paroliers : eicher, gainsbourg, miossec (lui aussi détient un style qu'on pourrait nommer vite fait de "pur") et puis jacques brel. j'arrête là, à deux trois autres près, peut-être, et encore...
RépondreSupprimerEn fait j'écoute toujours pas mal les paroles... ce qui a beaucoup changé c'est surtout que j'ai appris qu'une chanson était un exercice à part qui ne pouvait pas être comparé à de la poésie...
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerje n'étais pas venu depuis longtemps sur cette page, où j'avais un peu été bavard. Je rejoins custino. Je m'aperçois, peut-être que j'ai quitté la tranche des jeunes, que j'attends autre chose de la musique. Je ne peux plus me mettre sur une radio que j'écoutais avant. Je trouve que toutes les musiques se ressemblent, n'ont pas ou que très peu d'âme (avis purement personnel) et je n'en retiens aucune. Alors, j'écoute souvent les mêmes auteurs (ceux cités et notamment Brel que j'aurais aimé ou aller voir sur scène).
Pour ce qui est de la comparaison à de la poésie : oui et non. La poésie se récite, peut se vivre autant qu'une chanson et on peut faire varier le rythme, la diction, les intonations mais il faut je pense tâcher de rester proche de l'esprit et/ou la volonté initiaux de l'auteur. Une chanson : on peut en faire des déclinaisons et se l'approprier plus que de la poésie. Une chanson est un subtil mélange des paroles et de la musique. L'un et l'autre peuvent et doivent s'appuyer sur l'autre pour transmettre quelque chose aux auditeurs.
David
Oh oui, bien sûr il y a des points communs et un rapport à la musicalité évident. Ce sont plutôt les codes de l'une et de l'autre qui divergent.
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