La vérité, c'est bien, mais avec modération, sans quoi ça peut faire mal (et même très mal). La presse, pareil. C'est bien, c'est libre, c'est noble, mais quand même, ça peut faire des excès, qu'on est obligé de tolérer puisqu'on est démocrate. Et la guerre, bien sûr, c'est mal, mais des fois, c'est nécessaire.
J'exagère : la dernière porte ouverte du paragraphe précédent n'est pas enfoncée par Terry Pratchett. Mais pas besoin de beaucoup se forcer pour imaginer que dans un autre contexte, ça ne lui aurait posé aucun problème. Un Pratchett n'a peur de rien, même pas du Golb, c'est à ça qu'on le reconnaît - et pourtant il devrait (avoir peur du Golb). Il devrait parce que franchement, chaque fois que je lis un livre de Pratchett j'aime un peu moins que la fois d'avant - aussi ce qui devait arriver est arrivé : j'ai détesté celui-ci. Mais vraiment. Je l'ai trouvé fade, convenu, consensuel, moralisateur. Mais ne sont-ce pas là des reproches qu'on pourrait souvent faire à Pratchett ?
Pratchett, Terry de son prénom, a beau être l'idole de certains de mes amis, force est de reconnaître que s'il a créé un univers unique en son genre et su rendre la fantasy enfin fantaisiste, c'était il y a des lustres. En reprenant la liste des titres que j'ai lus ces dernières années, je me suis rapidement aperçu que tous ceux à propos desquels j'avais émis des réserves (Jingo, Thief of the Time...) étaient en fait postérieurs à Small Gods (le plus récent parmi ceux que j'ai appréciés... (*) De là à dire que Pratchett s'essouffle, il y a un pas que je laisserai à d'autres le soin de franchir, ma connaissance de l'œuvre étant bien trop lacunaire pour m'adonner à ce genre de formule. Ce qui est certain, en revanche, c'est que Pratchett essouffle le lecteur.
Si j'ai pris pour habitude de ne jamais en lire plus de deux par an, c'est sans doute parce que quelque part au fin de mon inconscient je sentais ça. Pratchett, en fait, c'est mon roman de gare/plage à moi. Vachement plus classe que Mary Higgings Clark, vachement moins réac et infiniment plus rigolo. Certes. Sauf que comme Mary Higgings Clark...
(... là j'imagine la tête de Guic' et Zaph, médusés, stupéfaits, les larmes aux yeux : NON ! IL VA PAS OSER..........)
... sauf que comme Mary Higgings Clark, au bout d'un certain nombre, ça soûle.
(OH PIIIITAIN !!!! IL A OSE !!!!!!!!!!)
Comme Mary Higgings Clark, ou comme tout ce qui est répétitif, à vrai dire. L'humour selon Pratchett ne reposant jamais que sur deux choses (l'imagination dans ses extensions de l'univers du Disques-Monde d'un côté, une poignée de gimmicks stylistiques de l'autre), au bout d'un certain nombre d'épisodes on commence à entrevoir les coutures - rien d'étonnant à cela : Prachett est l'archétype de l'auteur à recettes et ficelles, à trucs et à astuces. A formules types. Un bon exemple dans The Truth est sa réflexion sur la solution de facilité :
"Le monde se compose de quatre éléments : la terre, l'air, le feu et l'eau. C'est connu. C'est aussi faux. Il existe un cinquième élément, que l'on appelle le plus souvent la surprise. Par exemple, les nains avaient trouvé comment changer le plomb en or en usant de la solution de difficulté. La différence entre la solution de difficulté et la solution de facilité, c'est que celle de difficulté marche".
Deux paragraphes au milieu d'une page, qui ne servent strictement à rien, n'ont même pas de réel rapport entre eux, qui sont sans doute amusants mais aussi affreusement prévisibles pour un peu qu'on ait déjà lu quelques Pratchett. D'autant que des comme ça, il y en a vingt, peut-être même trente par livre. Non seulement Pratchett n'est pas un grand styliste (il écrit même, globalement, assez mal), mais en plus faut-il qu'il en fasse des tonnes dans le genre, ce qui a pour seul résultat de finir par irriter le lecteur un peu trop regardant.
Certains rétorqueront que oui, mais je n'ai rien compris, le Disque-Monde, ça se lit dans l'ordre, c'est ainsi qu'on voit l'évolution de l'univers. Que dalle : l'univers de Pratchett n'évolue pas. Je ne parle évidemment pas de l'évolution du Disque-Monde, des ajouts qu'il y a fait au fil des années, etc. Je parle de son univers artistique. Pratchett gravite toujours éternellement autour des mêmes trucs, des mêmes considérations, et il les raconte toujours de la même manière, avec le même sens du burlesque millimétré tuant toute spontanéité au fil du temps (c'est dire si, niveau burlesque, c'est raté).
Stylistiquement parlant, il n'y a absolument aucune différence entre ses livres des années quatre-vingt-dix et ses livres des années deux-mille. Structurellement parlant... non plus. La recette est toujours la même : on prend un aspect de la société ou en l'occurrence un micocosme (ici la presse), on le tourne en dérision sur quatre cents pages dont on au moins cent-cinquante de bavardages n'apportant rien ni à l'univers ni à l'intrigue (on est dans le dérisoire au sens le plus littéral du terme), on trouve une petite morale et emballé c'est pesé. Fondée il y a vingt-cinq ans comme une entreprise de déconstruction des mythes fondateurs de la fantasy et du fantastique, l'entreprise Disque-Monde est devenue progressivement une riche multinationale, la Discworld, Inc., obligée pour perdurer de se diversifier, quitte à taper de plus en plus souvent dans le poussif. Le résultat tient en non pas un, mais deux paradoxes :
Paradoxe N°1 : la série est entièrement écrite au second-degré, mais c'est son seul et unique degré de lecture (Pratchett ne fait pas réfléchir, il n'émeut pas, il ne déchire pas - ses parodies sont en générales très bon-enfant - il fait juste rire, dans le meilleur des cas)
Paradoxe N°2 : si l'on a jamais fait le tour du Disque-Monde en temps qu'univers de fiction, on largement fait le tour de Terry Pratchett, l'écrivain, au bout de cinq ou six lectures.
Celle-ci, au moins ma dix ou onzième, sera il va sans dire la dernière.
(*) Oui... 1992, je sais. Le fait que hasard ou coïncidence, je n'ai jamais lu de Pratchett sorti entre 1992 et 1997...
...
J'exagère : la dernière porte ouverte du paragraphe précédent n'est pas enfoncée par Terry Pratchett. Mais pas besoin de beaucoup se forcer pour imaginer que dans un autre contexte, ça ne lui aurait posé aucun problème. Un Pratchett n'a peur de rien, même pas du Golb, c'est à ça qu'on le reconnaît - et pourtant il devrait (avoir peur du Golb). Il devrait parce que franchement, chaque fois que je lis un livre de Pratchett j'aime un peu moins que la fois d'avant - aussi ce qui devait arriver est arrivé : j'ai détesté celui-ci. Mais vraiment. Je l'ai trouvé fade, convenu, consensuel, moralisateur. Mais ne sont-ce pas là des reproches qu'on pourrait souvent faire à Pratchett ?
Pratchett, Terry de son prénom, a beau être l'idole de certains de mes amis, force est de reconnaître que s'il a créé un univers unique en son genre et su rendre la fantasy enfin fantaisiste, c'était il y a des lustres. En reprenant la liste des titres que j'ai lus ces dernières années, je me suis rapidement aperçu que tous ceux à propos desquels j'avais émis des réserves (Jingo, Thief of the Time...) étaient en fait postérieurs à Small Gods (le plus récent parmi ceux que j'ai appréciés... (*) De là à dire que Pratchett s'essouffle, il y a un pas que je laisserai à d'autres le soin de franchir, ma connaissance de l'œuvre étant bien trop lacunaire pour m'adonner à ce genre de formule. Ce qui est certain, en revanche, c'est que Pratchett essouffle le lecteur.
Si j'ai pris pour habitude de ne jamais en lire plus de deux par an, c'est sans doute parce que quelque part au fin de mon inconscient je sentais ça. Pratchett, en fait, c'est mon roman de gare/plage à moi. Vachement plus classe que Mary Higgings Clark, vachement moins réac et infiniment plus rigolo. Certes. Sauf que comme Mary Higgings Clark...
(... là j'imagine la tête de Guic' et Zaph, médusés, stupéfaits, les larmes aux yeux : NON ! IL VA PAS OSER..........)
... sauf que comme Mary Higgings Clark, au bout d'un certain nombre, ça soûle.
(OH PIIIITAIN !!!! IL A OSE !!!!!!!!!!)
Comme Mary Higgings Clark, ou comme tout ce qui est répétitif, à vrai dire. L'humour selon Pratchett ne reposant jamais que sur deux choses (l'imagination dans ses extensions de l'univers du Disques-Monde d'un côté, une poignée de gimmicks stylistiques de l'autre), au bout d'un certain nombre d'épisodes on commence à entrevoir les coutures - rien d'étonnant à cela : Prachett est l'archétype de l'auteur à recettes et ficelles, à trucs et à astuces. A formules types. Un bon exemple dans The Truth est sa réflexion sur la solution de facilité :
"Le monde se compose de quatre éléments : la terre, l'air, le feu et l'eau. C'est connu. C'est aussi faux. Il existe un cinquième élément, que l'on appelle le plus souvent la surprise. Par exemple, les nains avaient trouvé comment changer le plomb en or en usant de la solution de difficulté. La différence entre la solution de difficulté et la solution de facilité, c'est que celle de difficulté marche".
Deux paragraphes au milieu d'une page, qui ne servent strictement à rien, n'ont même pas de réel rapport entre eux, qui sont sans doute amusants mais aussi affreusement prévisibles pour un peu qu'on ait déjà lu quelques Pratchett. D'autant que des comme ça, il y en a vingt, peut-être même trente par livre. Non seulement Pratchett n'est pas un grand styliste (il écrit même, globalement, assez mal), mais en plus faut-il qu'il en fasse des tonnes dans le genre, ce qui a pour seul résultat de finir par irriter le lecteur un peu trop regardant.
Certains rétorqueront que oui, mais je n'ai rien compris, le Disque-Monde, ça se lit dans l'ordre, c'est ainsi qu'on voit l'évolution de l'univers. Que dalle : l'univers de Pratchett n'évolue pas. Je ne parle évidemment pas de l'évolution du Disque-Monde, des ajouts qu'il y a fait au fil des années, etc. Je parle de son univers artistique. Pratchett gravite toujours éternellement autour des mêmes trucs, des mêmes considérations, et il les raconte toujours de la même manière, avec le même sens du burlesque millimétré tuant toute spontanéité au fil du temps (c'est dire si, niveau burlesque, c'est raté).
Stylistiquement parlant, il n'y a absolument aucune différence entre ses livres des années quatre-vingt-dix et ses livres des années deux-mille. Structurellement parlant... non plus. La recette est toujours la même : on prend un aspect de la société ou en l'occurrence un micocosme (ici la presse), on le tourne en dérision sur quatre cents pages dont on au moins cent-cinquante de bavardages n'apportant rien ni à l'univers ni à l'intrigue (on est dans le dérisoire au sens le plus littéral du terme), on trouve une petite morale et emballé c'est pesé. Fondée il y a vingt-cinq ans comme une entreprise de déconstruction des mythes fondateurs de la fantasy et du fantastique, l'entreprise Disque-Monde est devenue progressivement une riche multinationale, la Discworld, Inc., obligée pour perdurer de se diversifier, quitte à taper de plus en plus souvent dans le poussif. Le résultat tient en non pas un, mais deux paradoxes :
Paradoxe N°1 : la série est entièrement écrite au second-degré, mais c'est son seul et unique degré de lecture (Pratchett ne fait pas réfléchir, il n'émeut pas, il ne déchire pas - ses parodies sont en générales très bon-enfant - il fait juste rire, dans le meilleur des cas)
Paradoxe N°2 : si l'on a jamais fait le tour du Disque-Monde en temps qu'univers de fiction, on largement fait le tour de Terry Pratchett, l'écrivain, au bout de cinq ou six lectures.
Celle-ci, au moins ma dix ou onzième, sera il va sans dire la dernière.
👎👎 The Truth [La Vérité]
Terry Pratchett | Doubleday, 2000
(*) Oui... 1992, je sais. Le fait que hasard ou coïncidence, je n'ai jamais lu de Pratchett sorti entre 1992 et 1997...
Tu pouvais m'ajouter dans le club des fans de Pratchett.
RépondreSupprimerAussi je dois te dire :
SALAUD !!
Le pire, c'est que tout ce que tu dis est vrai. Mais que je l'adore quand même...
Eh bien, je n'ai jamais osé me lancer dans la lecture de Pratchett car je craignais de ne pas accrocher à son style et à son humour. Donc, pour toi qui portes un regard très critique sur l'auteur, tu conseilles quoi ? Un des premiers du Disque-Monde ?
RépondreSupprimerJe dois avouer, au risque de me faire lyncher, que Le lézard lubrique de Melancholy Cove, de Christopher Moore, ne m'a pas fait rire, d'où ma méfiance, en général, pour ce qui est qualifié de loufoque.
J'aime bien Pratchett, mais j'en ferais pas une sinécure, quand même.
RépondreSupprimerZut! J'allais écrire pareil que Miss Lil'.
RépondreSupprimerPratchett est un auteur attachant, sympathique, mais rien d'extraordinaire, du point de vue purement littéraire. Je conviens néanmoins qu'il a, parfois, des idées vraiment très drôles ("le Faucheur" est un très bon livre, j'ai ri de la première, à la dernière page). De là à en faire une étude aussi poussée que celle de mon collègue...
BBB.
Bon, j'ai évidement quelques trucs à dire :-)
RépondreSupprimer1. L'évolution du Disque - Monde en soit s'effectue "juste" ente les tomes... 1 à 10 disons, le dixième étant le premier, vraiment ou il tourne en dérision un "microcosme", les précédents étant principalement des parodies de livres.
2. Ta note de bas de page m'a bien fait marrer: ceux publiés entre 92 et 97 sont de fait mes préférés (ce que je qualifierai d'"age d'or" du disque monde)
Enfin non: mes préférés ont été publiés dans cet intervalle de temps. Voilà. Plutôt.
3. Oui, The Truth est nul, comme quasiment tous ceux publiés après 1998. Et ça s'arrange pas derrière.
4. La "lecture dans l'ordre", c'est pas forcément qu'une question d'évolution, mais aussi une question de, justement, voir les bouquins s'améliorer avant la chute.
Après, évidement, il ne faut pas chercher de la grande littérature en lisant Pratchett (ni même, selon moi, de la littérature tout court, mais nous ne réglerons pas notre désaccord sur mes termes aujourd'hui non plus ;-) ) Mais juste de passer un bon moment.
D'autre part, mais ça c'est juste pour moi, je suis beaucoup plus sensible à ce genre d'humour "classique", très littéral avec phrase de 3 lignes + chute qu'à beaucoup d'autres tels que le décalage, tous ces trucs qui font par exemple que beaucoup de livres dont on m'a vanté la drôlerie ne me paraissent pas drôles, mais pas drôles du tout.
Quand à Mary Higgins Clak, comment pourrais - je m'offusquer d'une comparaison à un truc que j'ai eu le mérite de ne pas lire...
Sinon, encore une fois (c'en deviendrait presque lassant) j'arrive pas à ne pas être un peu d'accord avec Lil'.
Ha nan mais là, Serious moon a trouvé le mot parfait pour exprimer ma pensée:
RépondreSupprimerSalaud !!
C'est pas parce que c'est l'été et que tout le monde est (-à-la-plage-) sous la pluie qu'il faut faire du pratchett-bashing juste pour faire remonter le nombre de commentaires de ton blog. Pas joli joli de traîner dans la boue les idoles alzheimerisées de mon enfance.
Plus sérieusement, Terry Pratchett n'est peut-être pas un grand écriavain, mais c'est l'un des rares auteurs qui a réussit à me faire me bidonner de rire tout seul dans mon lit à 4h du mat. Et pour ça, je lui voue un culte éternel.
Après, oui, les bouquins sont inégaux. Si on ne saisit pas les références, on ne pige pas forcément tout. Selon que l'on les lisent en Français ou en anglais, on n'a pas les mêmes blagues (Patrick Couton est un très bon traducteur, mais il y a parfois des trucs totalement intraduisibles).
Et on s'accroche à certains persos plus qu'à d'autres: les séries sur le Guet, les sorcières et Rincevent sont très bonnes, je trouve. Celles sur La Mort sont inégales, les one-shot peuvent être très bons ou très mauvais. Mais l'ensemble de l'oeuvre reste mythique.
A lire entre 1992 et 1998: Lords and ladies, Men at Arms, Interesting times , et Masquarade, si mes souvenirs sont bons. Feet of clay Et Hogfather sont par contre à éviter (en même temps, c'est à partir de là que j'ai commencé à les lire en anglais, et à l'époque je devais pas piger grand chose).
Le dernier qui m'a vraiment plu: Monstruous Regiment, assez différent des autres.
Bon, au moins tu aura au le mérite de me donner envie de relier certains de ces bouquins ^^
Serious Moon, Guic' & DNM >>> donc en fait, vous êtes tous plus ou moins d'accord (on aura même appris grâce au plus grand fan de Pratchett que ce dernier ne faisait pas de littérature - ce qui est bien pire que mon article ;-), mais vous adorez quand même, même si c'est inégal, mais vous lui vouez un culte... mais écoutez, moi, je ne peux argumenter que sur la littérature, pas sur l'amour ni la religion :)
RépondreSupprimerJ'ai bien entendu déjà ri à 4h00 du mat tout seul dans mon lit en lisant Pratchett (il y a longtemps). Ce n'est pas ce que je fustige. C'est plutôt le fait qu'au bout d'un moment, j'ai l'impression de toujours lire le même livre (ce qui est pour le moins paradoxal). Sur The Truth (et d'autres) j'ai vraiment eu le sentiment de pouvoir anticiper les vannes. Mais ma théorie (qu'il faudrait vérifier) c'est surtout qu'il y aurait nécessairement un phénomène de lassitude dans cette série, peu importe l'ordre dans lequel on la lit. Je pense sincèrement que quelqu'un qui commence par n'importe quel livre (même la fin) le trouvera très drôle, puis qu'un certain nombre de bouquins plus tard et sauf à être devenu fan, il commencera à se lasser...
Enfin à propos des traductions... je ne suis pas un spécialiste de la question, mais pour des raisons de commodités j'ai lu à peu près autant de Pratchett en français qu'en anglais. Et je dois dire que ça m'a toujours semblé très bien traduit.
Mélanie >>> j'aurais tendance à conseiller Reaper Man, mais je ne doute pas que les fans ici présents auront d'autres suggestions.
Je vais te surprendre : je suis entièrement d'accord avec toi (mais Higgins Clark, quand-même !).
RépondreSupprimerIl y a peut-être une autre explication à son radotage : il paraît qu'il souffre de la maladie d'Alzheimer...
N'écoutez pas DNM, Hogfather déchire.
RépondreSupprimerC'est d'ailleurs peut être le seul dont j'ai trouvé la "morale" intelligente.
Sinon j'aurais tendance à conseiller Mort (imer).
je ne peux argumenter que sur la littérature, pas sur l'amour ni la religion :)
RépondreSupprimerSachant que la littérature EST ta religion (c'est toi même qui l'a dit, d'ailleurs, il y a un temps lointain ;-) ) J'admire la beauté de cette phrase...
(Enfin, reste que je n'arrive toujours pas à comprendre par quel coup du sort tu t'es retrouvé à lire tous ceux que je considère comme mauvais, et aucun de ceux que je considère comme très bon...)
Zaph >>> difficile de faire un diagnostic... faudrait que je sache depuis quand il est malade, que je compare avec les dates des livres, que je lise ceux que je n'ai pas encore lus... beaucoup trop de boulot pour Pratchett ! ;-)
RépondreSupprimerGuic' >>> n'importe quoi ! tout le monde sait que je suis ironiste !
Ca n'a rien d'une religion. Tout au plus un attachement particulier, un genre de "total respect" ;)
RépondreSupprimerEt pourquoi un big up, pendant que tu y es ;-)
RépondreSupprimerLes avancées technologiques ont rendu les jeux à la fois plus attractifs, et plus difficiles à contrefaire. Mais je le maintiens : allez sur des sites de peer to peer, regardez ce qu'ils proposent, regardez les satistiques (nombre de fichiers complétés, sources), vous constaterez de vous-mêmes que les jeux vidéos y sont innombrables, et y rencontrent beaucoup plus de succès que beaucoup de films. Mais je concède, cependant, que cela ne touche plus exactement le même profil de pirate. Tous les ados de 16 ans n'ont pas les moyens, techniques ou pratiques, de contrefaire un jeu, c'est certain.
RépondreSupprimerZut !
RépondreSupprimerJe me suis trompé de message.
C'est trompeur, ces pop-up!
Un grand classique...
RépondreSupprimerOui, pas faux ce que tu dis, Thom. en meme temps, je passe encore des bons moments avec ses bouquins, et comme DNDM c'est un des rares auteurs à réussir à me faire éclater de rire. c'est en général court, léger, bref la parfaite série pour se détendre. et en plus il en sort trois par an, donc pas la peine de se creuser la tete pour trouver une autre lecture du genre...
RépondreSupprimercela dit, je cherche désespérément les derniers en poche... il me semble qu'il y en a au moins 7 ou 8 qui ne sont pas encore sortit sous ce format abordable (on va quand meme pas claquer 15 euros pour du Pratchett...)
alors là je m'esbaudis et pas seulement pour ton article, je trouve que les fan de pratchett ont une étrange façon de le défendre enfin moi je dis ça je dis rien, je ne suis vraiment pas fan comme tu sais :-)
RépondreSupprimer(Comme disais je-ne-sais-qui, protégez moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge :-D)