2010 fut meurtrière. 2011 poursuit dans la même veine, où la liste des décès continue de s'avérer deux fois plus longue que celle des naissances. Après Friday Night Lights en début d'année c'est, avec Entourage, une autre des séries-phares de la dernière décennie qui s'apprête à mettre la clé sous la porte, le 11 septembre prochain.
Entourage, c'est cette série qui raconte Hollywood à travers ses notes de bas de page, frasques de stars déconnectées, parties permanentes et tractations implacables en coulisse. A travers la trajectoire de Vincent Chase, jeune premier-qui-monte, plus moteur de la série que héros, c'est tout le business du cinéma qui est passé au crible, côté pile (certains agents ou producteurs se révèlent de véritables génies ou pygmalions) et côté face (lâcheté, hypocrisie omniprésente - Hi, big fan est l'un des leitmotiv de la série, classique mais remarquable destruction en règle du miroir aux alouettes). Il faut d'ailleurs reconnaître parmi les grandes qualités du show, et même si la pédagogie n'est assurément pas son but premier, d'être sans aucun doute l’œuvre de fiction qui vous en apprendra le plus sur le fonctionnement de l'industrie du cinéma et, dans une moindre mesure, de la télévision.
La pédagogie n'est pas son but premier, disais-je, car la particularité d'Entourage est d'ailleurs de ne pas vraiment avoir de but. On pourrait même affirmer sans trop se tromper qu'elle ne raconte la plupart du temps pas grand-chose, son quatuor de héros étant, à tout le moins dans les deux premières saisons, d'une rare oisiveté. Entourage, c'est avant tout un style, un ton, des dialogues incroyablement ciselés et un rythme effréné, vingt-sept à trente minutes hebdomadaire d'une impressionnante densité. Une forme impeccable et millimétrée qui happe le spectateur au-delà même du contenu des épisodes. Tout le monde vous le dira : Entourage, pourtant produite par la très intellectuelle HBO (dont elle fut l'un des plus grands succès populaires), est l'archétype de la série qui se boit comme du petit lait et peut potentiellement plaire à tous. Parce qu'elle ne se prend jamais au sérieux. Parce qu'elle est vivante et dynamique. Parce qu'elle exalte avant tout le reste l'hédonisme et l'amitié.
Si vous n'êtes jamais tombés dessus au hasard d'un zapping sur le câble ou d'un téléchargement illégal accidentellement arrivé sur votre disque dur suite à un défaut de surveillance de votre ligne, la série met en scène l'entourage (aaaaah ! ok !) de Vincent Chase, monté à Hollywood depuis son Queens natal, avec sous le bras son grand-frère Johnny, ex-acteur de séries précocement ringardisé, et ses deux meilleurs amis : Eric, le petit irlandais nerveux et romantique, leader naturel de la bande éternellement moqué pour son refus obstiné de sombrer dans les excès de Hollywood, et Turtle, le petit gros flemmard... et romantique, éternellement moqué pour son incapacité à emballer. Tous quatre vivent ensemble de manière plus ou moins parasitaire, qui en glandant aux frais de la princesse (Turtle), qui en tenant de rebondir sur le succès de Vince pour se lancer dans un come-back (Johnny), qui en espérant profiter de l'occasion pour mettre un pied dans l'industrie et s'y enraciner (Eric).
Depuis sept saisons, on suit avec un sincère attachement leurs évolutions personnelles : Vince devient progressivement une star, Eric se mue peu à peu en business-man implacable, Turtle devient adulte et indépendant, Jonny "Drama" étant le seul à rester plus ou moins égal à lui-même au fil du temps, sa croix à lui étant plutôt l'acceptation de sa médiocrité en tant que comédien. Toutes leurs pérégrinations ne sont pas d'égal intérêt, et les premières saisons sont largement dominées par la relation filiale et sadique unissant Eric à Ari Gold, tonitruant agent de la star en devenir, control-freak à la rhétorique assassine et aux colères jupitériennes aussi souvent que cartoonesques, qui cache certes une belle âme mais a appris à ne pas trop l'utiliser dans le cadre de son activité professionnelle.
Les autres mettent plus de temps à trouver leur place, à commencer Vince lui-même, qu'Adrian Grenier met un certain temps à réellement habiter et à transformer en autre chose qu'un belle gueule servant de prétexte aux aventures des autres (ceci dit pour ne pas avouer que dans les deux premières saisons, il joue très mal). Plus subtile, sa mue n'en est pas moins intéressante, le personnage révélant sa véritable nature sur la durée : oui, ce type est cool, charmant, insouciant et profondément incapable de faire sciemment du mal à quelqu'un ; mais il est aussi un vrai fan de cinéma prenant son métier beaucoup plus au sérieux qu'il ne se l'avoue, et dont les valeurs entrent régulièrement en conflit avec la morale hollywoodienne... c'est-à-dire la raison économique, car s'il y a bien une chose qu'Entourage démontre avec une brillante régularité, c'est que la morale et la loyauté n'existent pas dans ce lieu si artificiel qu'on a parfois le sentiment qu'il n'est peuplé que de stars, ou d'exs stars, ou de futures stars, ou de gens espérant devenir stars, ou de... etc ("la moindre serveuse [y] a fait du porno", déclara un jour Iggy Pop). Chase ne se contente pas de tolérer que ses amis jouent les piques-assiettes : il les y encourage, il entretient cet état de fait en permanence, parce qu'ils lui permettent de rester humain dans un univers ne l'étant que rarement. Il est d'ailleurs effrayant de noter que dans la longue liste des mauvais choix de Vincent Chase, pas un ne relève d'une décision on ne peut plus humaine : amour profond pour telle fille qui va l'écraser, amitié indéfectible pour tel cinéaste habitué aux suicides commerciaux, refus de céder à tel desiderata inacceptable de tel studio... etc. Blacklisté pendant un temps, fuit par le succès durant les cinq premières saisons, Vince est un rebelle n'ayant absolument pas conscience de l'être, pour cette simple raison que lorsque l'on n'est pas une superstar omnipotente, il ne faut pas grand-chose pour que l'industrie, en parfait reflet de la société médiatique anglo-saxonne, y voit une source de marginalité. Si Vince ne peut pas se passer de ses potes, et notamment d'Eric et Ari malgré de multiples prises de bec, c'est parce qu'ils comprennent bien mieux que lui le monde dans lequel il évolue. La série n'a pas choisi son nom par hasard : l'entourage de la star, par bien des manières, fait la star.
Celui de Vincent Chase, particulièrement attachant, permet au spectateur d'avaler à peu près toutes les ambiguïtés d'un feuilleton qui, en dépit d'une charge satirique évidente et souvent cruelle, demeure baigné dans une fascination souvent malsaine pour l'univers qu'il moque. Les scénaristes ont beau tout faire pour critiquer la superficialité de Hollywood, en l'opposant à l'amitié profonde et réelle unissant les héros, ils se vautrent dans la fange avec un plaisir aussi coupable qu'évident, Entourage étant très probablement et simultanément a) la série la plus bling-bling de l'univers ; b) la série la plus macho de l'univers ; c) la série la plus fan de Hollywood et de ses studios de l'univers (après tout, Vince ne finit-il pas par accéder à la gloire que lorsqu'il finit par accepter de se conformer à ce que l'on exige de lui ?) Il serait cependant injuste de partir de cela pour faire le procès d'un show dont le spectateur est, après tout, la victime consentante : Entourage sans ses pétasses et ses grosses bagnoles ne serait pas tout à fait Entourage, et on l'en aimerait assurément moins. Il est néanmoins très symptomatique des paradoxes de la série que de constater que le personnage le plus critique envers cet univers, Eric, est aussi celui qui s'y promène avec la plus grande aisance, celui qui dès le premier épisode donne l'impression d'être né pour vivre à Hollywood.
La série développe donc principalement ces axes durant les saisons trois à cinq, qui voient Vince aller de hauts en bas sans jamais parvenir à planter son drapeau au sommet. Sans surprise, ce sont les trois meilleures saisons de la série, la suite la voyant décliner peu à peu. Un déclin certes relatif, puisque mûri et organisé : d'une certaine manière, Entourage se met en abyme elle-même à partir du moment où Vince est devenu une superstar et où, par définition, l'achèvement de sa quête l'a en partie vidé de sa substance. On est toujours seul au sommet et, après une sixième saison qui restera probablement comme la moins réussie, la septième (et donc avant dernière) a cette remarquable qualité que d'insister sur cette solitude : les liens entre les héros se distendent, Vince comprend ce que l'on sait de lui depuis longtemps (il est incapable d'être seul), et les scénaristes se retrouvent en quelque sorte les otages de leur propre pertinence, leur série perdant de son insouciance et de sa désinvolture en même temps que le héros devient un homme. Il est difficile de prédire de quelle manière les choses vont se terminer... sans doute sur une ultime ode à l'amitié virile, mais il ne serait pas étonnant que la huitième et dernière saison, qui débute ce soir, ait un faux air de gueule de bois. Pour eux comme pour nous, la fête est terminée.
Entourage, c'est cette série qui raconte Hollywood à travers ses notes de bas de page, frasques de stars déconnectées, parties permanentes et tractations implacables en coulisse. A travers la trajectoire de Vincent Chase, jeune premier-qui-monte, plus moteur de la série que héros, c'est tout le business du cinéma qui est passé au crible, côté pile (certains agents ou producteurs se révèlent de véritables génies ou pygmalions) et côté face (lâcheté, hypocrisie omniprésente - Hi, big fan est l'un des leitmotiv de la série, classique mais remarquable destruction en règle du miroir aux alouettes). Il faut d'ailleurs reconnaître parmi les grandes qualités du show, et même si la pédagogie n'est assurément pas son but premier, d'être sans aucun doute l’œuvre de fiction qui vous en apprendra le plus sur le fonctionnement de l'industrie du cinéma et, dans une moindre mesure, de la télévision.
La pédagogie n'est pas son but premier, disais-je, car la particularité d'Entourage est d'ailleurs de ne pas vraiment avoir de but. On pourrait même affirmer sans trop se tromper qu'elle ne raconte la plupart du temps pas grand-chose, son quatuor de héros étant, à tout le moins dans les deux premières saisons, d'une rare oisiveté. Entourage, c'est avant tout un style, un ton, des dialogues incroyablement ciselés et un rythme effréné, vingt-sept à trente minutes hebdomadaire d'une impressionnante densité. Une forme impeccable et millimétrée qui happe le spectateur au-delà même du contenu des épisodes. Tout le monde vous le dira : Entourage, pourtant produite par la très intellectuelle HBO (dont elle fut l'un des plus grands succès populaires), est l'archétype de la série qui se boit comme du petit lait et peut potentiellement plaire à tous. Parce qu'elle ne se prend jamais au sérieux. Parce qu'elle est vivante et dynamique. Parce qu'elle exalte avant tout le reste l'hédonisme et l'amitié.
Si vous n'êtes jamais tombés dessus au hasard d'un zapping sur le câble ou d'un téléchargement illégal accidentellement arrivé sur votre disque dur suite à un défaut de surveillance de votre ligne, la série met en scène l'entourage (aaaaah ! ok !) de Vincent Chase, monté à Hollywood depuis son Queens natal, avec sous le bras son grand-frère Johnny, ex-acteur de séries précocement ringardisé, et ses deux meilleurs amis : Eric, le petit irlandais nerveux et romantique, leader naturel de la bande éternellement moqué pour son refus obstiné de sombrer dans les excès de Hollywood, et Turtle, le petit gros flemmard... et romantique, éternellement moqué pour son incapacité à emballer. Tous quatre vivent ensemble de manière plus ou moins parasitaire, qui en glandant aux frais de la princesse (Turtle), qui en tenant de rebondir sur le succès de Vince pour se lancer dans un come-back (Johnny), qui en espérant profiter de l'occasion pour mettre un pied dans l'industrie et s'y enraciner (Eric).
Depuis sept saisons, on suit avec un sincère attachement leurs évolutions personnelles : Vince devient progressivement une star, Eric se mue peu à peu en business-man implacable, Turtle devient adulte et indépendant, Jonny "Drama" étant le seul à rester plus ou moins égal à lui-même au fil du temps, sa croix à lui étant plutôt l'acceptation de sa médiocrité en tant que comédien. Toutes leurs pérégrinations ne sont pas d'égal intérêt, et les premières saisons sont largement dominées par la relation filiale et sadique unissant Eric à Ari Gold, tonitruant agent de la star en devenir, control-freak à la rhétorique assassine et aux colères jupitériennes aussi souvent que cartoonesques, qui cache certes une belle âme mais a appris à ne pas trop l'utiliser dans le cadre de son activité professionnelle.
Les autres mettent plus de temps à trouver leur place, à commencer Vince lui-même, qu'Adrian Grenier met un certain temps à réellement habiter et à transformer en autre chose qu'un belle gueule servant de prétexte aux aventures des autres (ceci dit pour ne pas avouer que dans les deux premières saisons, il joue très mal). Plus subtile, sa mue n'en est pas moins intéressante, le personnage révélant sa véritable nature sur la durée : oui, ce type est cool, charmant, insouciant et profondément incapable de faire sciemment du mal à quelqu'un ; mais il est aussi un vrai fan de cinéma prenant son métier beaucoup plus au sérieux qu'il ne se l'avoue, et dont les valeurs entrent régulièrement en conflit avec la morale hollywoodienne... c'est-à-dire la raison économique, car s'il y a bien une chose qu'Entourage démontre avec une brillante régularité, c'est que la morale et la loyauté n'existent pas dans ce lieu si artificiel qu'on a parfois le sentiment qu'il n'est peuplé que de stars, ou d'exs stars, ou de futures stars, ou de gens espérant devenir stars, ou de... etc ("la moindre serveuse [y] a fait du porno", déclara un jour Iggy Pop). Chase ne se contente pas de tolérer que ses amis jouent les piques-assiettes : il les y encourage, il entretient cet état de fait en permanence, parce qu'ils lui permettent de rester humain dans un univers ne l'étant que rarement. Il est d'ailleurs effrayant de noter que dans la longue liste des mauvais choix de Vincent Chase, pas un ne relève d'une décision on ne peut plus humaine : amour profond pour telle fille qui va l'écraser, amitié indéfectible pour tel cinéaste habitué aux suicides commerciaux, refus de céder à tel desiderata inacceptable de tel studio... etc. Blacklisté pendant un temps, fuit par le succès durant les cinq premières saisons, Vince est un rebelle n'ayant absolument pas conscience de l'être, pour cette simple raison que lorsque l'on n'est pas une superstar omnipotente, il ne faut pas grand-chose pour que l'industrie, en parfait reflet de la société médiatique anglo-saxonne, y voit une source de marginalité. Si Vince ne peut pas se passer de ses potes, et notamment d'Eric et Ari malgré de multiples prises de bec, c'est parce qu'ils comprennent bien mieux que lui le monde dans lequel il évolue. La série n'a pas choisi son nom par hasard : l'entourage de la star, par bien des manières, fait la star.
Celui de Vincent Chase, particulièrement attachant, permet au spectateur d'avaler à peu près toutes les ambiguïtés d'un feuilleton qui, en dépit d'une charge satirique évidente et souvent cruelle, demeure baigné dans une fascination souvent malsaine pour l'univers qu'il moque. Les scénaristes ont beau tout faire pour critiquer la superficialité de Hollywood, en l'opposant à l'amitié profonde et réelle unissant les héros, ils se vautrent dans la fange avec un plaisir aussi coupable qu'évident, Entourage étant très probablement et simultanément a) la série la plus bling-bling de l'univers ; b) la série la plus macho de l'univers ; c) la série la plus fan de Hollywood et de ses studios de l'univers (après tout, Vince ne finit-il pas par accéder à la gloire que lorsqu'il finit par accepter de se conformer à ce que l'on exige de lui ?) Il serait cependant injuste de partir de cela pour faire le procès d'un show dont le spectateur est, après tout, la victime consentante : Entourage sans ses pétasses et ses grosses bagnoles ne serait pas tout à fait Entourage, et on l'en aimerait assurément moins. Il est néanmoins très symptomatique des paradoxes de la série que de constater que le personnage le plus critique envers cet univers, Eric, est aussi celui qui s'y promène avec la plus grande aisance, celui qui dès le premier épisode donne l'impression d'être né pour vivre à Hollywood.
La série développe donc principalement ces axes durant les saisons trois à cinq, qui voient Vince aller de hauts en bas sans jamais parvenir à planter son drapeau au sommet. Sans surprise, ce sont les trois meilleures saisons de la série, la suite la voyant décliner peu à peu. Un déclin certes relatif, puisque mûri et organisé : d'une certaine manière, Entourage se met en abyme elle-même à partir du moment où Vince est devenu une superstar et où, par définition, l'achèvement de sa quête l'a en partie vidé de sa substance. On est toujours seul au sommet et, après une sixième saison qui restera probablement comme la moins réussie, la septième (et donc avant dernière) a cette remarquable qualité que d'insister sur cette solitude : les liens entre les héros se distendent, Vince comprend ce que l'on sait de lui depuis longtemps (il est incapable d'être seul), et les scénaristes se retrouvent en quelque sorte les otages de leur propre pertinence, leur série perdant de son insouciance et de sa désinvolture en même temps que le héros devient un homme. Il est difficile de prédire de quelle manière les choses vont se terminer... sans doute sur une ultime ode à l'amitié virile, mais il ne serait pas étonnant que la huitième et dernière saison, qui débute ce soir, ait un faux air de gueule de bois. Pour eux comme pour nous, la fête est terminée.
Entourage
créée par Doug Ellin | HBO, 2004-10
👍 Saisons 1 & 2
👍 Saisons 1 & 2
👍👍👍 Saisons 3, 4 & 5
✋ Saison 6
👍👍 Saison 7
Il s'est fait attendre, cet article !
RépondreSupprimerBelle prés et belle analyse à la fois. Vivement ce soir (enfin demain) !
J'avoue que je n'ai jamais accroché à Entourage. Comme tu dis, c'est vraiment super machiste, super bling bling (en fait c'est un peu la série gangsta ^^), pas du tout ce que j'aime.
RépondreSupprimerC'est limite répréhensible de parler d'Entourage sans évoquer les innombrables featuring qu'on y trouve...Scorsese, Paul Haggis, Larry David, Anna Faris, Eminem, Bob Saget, la liste des piges est sans fin!
RépondreSupprimerTout pareil que Marion !
RépondreSupprimerEt ça y est, nous sommes demain. Le 801 est sur le DD. Visionnage pendant la sieste ;-)
Marion & Thierry >>> sur le DD ? vivement la suite ? Mais qu'est-ce vous me racontez ?... ^^
RépondreSupprimerSerious Moon >>> oui, et puis Sasha Grey, Jeffrey Tambor, Peter Berg deux fois, James Cameron trois ou quatre fois, Mark Wahlberg une fois par saison, ... on pourrait y passer des heures, mais ce serait assez vain non ?...
Lil' >>> Sans oublier dans la catégorie guests une liste de rappeurs assez impressionnante, à défaut d'être prestigieuse (50 Cent, Snoop, Kanye, Diddy...), et qui accrédite pas mal ta thèse (que je partage partiellement...)
(j'oublie Big Boy, qui apparaît à plusieurs reprises et qui apporte une dernière touche de crédibilité hip hop à la série...)
RépondreSupprimerEt j'ai vu que quelques épisodes ! Tu imagines si j'avais vu toute la série, ton article serait KO ;) :D
RépondreSupprimerAh mais je t'y encourage !
RépondreSupprimerJe dirai même plus : je t'y Entourage !
RépondreSupprimerOuais je sais, c'est nul, je sors.
RépondreSupprimerMerde, je peux pas sortir : c'est mon blog.
RépondreSupprimerUn bon 801 avec un cameo de BBT ;-)
RépondreSupprimerSi c'est comme le cameo qu'ils avaient fait avec Bono, je prends ^^
RépondreSupprimerPas encore vu l'épisode mais rien ne presse pour moi ;-) (par contre il va falloir tenir Carole ^^)
Ce qu'il faut pas faire pour animer son blog en période estivale ;)
RépondreSupprimer^^
RépondreSupprimervue que maintenant, la carriere de donnie whalberg (frère de) à l'air plus posée que celle de mark, peut on penser que parallèlement, c'est de Drama va décoller aussi??
RépondreSupprimerEuh...
RépondreSupprimerMême un peu convenue, la nouvelle saison envoie bien.
RépondreSupprimerJe n'ai toujours pas commencé mais cela ne saurait tarder.
RépondreSupprimerBon, ben voilà, c'est fini :-(
RépondreSupprimerJe ne suis qu'à la moitié de la saison... j'y vais doucement, je savoure... mais il y aura bien entendu un article sur cette fin (mais si cette ultime saison, bien que sympa, ne m'inspire pas particulièrement).
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