...
28 janvier. "Hé dis donc, je suis en train de lire ton Rouge et le Noir, et il y a toujours pas Jeanne Mas." (Cauet, mettant fin à une étonnante tentative de contre-emploi le montrant apparaissant un livre à la main).
29 janvier. "Après Gainsbourg, Kravitz... Vanessa Paradis passe d'un génie à un autre." (Un journaliste de TMC dont je n'ai malencontreusement pas retenu le nom, et dont je ne suis d'ailleurs pas tout à fait sûr qu'il ait une carte de presse. Hein dis Maman, ça n'existe pas vraiment des journalistes comme ça ?...)
30 janvier. Les inquiétudes entourant le possible filtrage de messages sur Twitter donnent à réfléchir, d'une manière ou d'une autre, sur la place qu'occupent - comprendre : que l'on a octroyé aux - les réseaux sociaux. Cela faisait justement plusieurs semaines que je m'interrogeais à ce sujet, notant la manière dont Twitter (et Facebook, ne faisons pas de jaloux) étaient traités dans les médias. Pas dans les reportages à leur sujet, bien entendu. Dans le reste des médias. Leur banalisation progressive. Le renvoi spontané et systématique à la page Facebook de l'émission, au compte Twitter de l'association... etc. On en parle comme on parlerait de La Poste ou d'un quelconque service public. Bien sûr, tout le monde a bien conscience que ce n'est pas le cas, même si l'on pourrait citer bien des situations où ils ont accomplis (passivement) une mission de service public. Tout le monde en a bien conscience mais pourtant, lorsque des millions de gens découvrent que Twitter est une multinationale cherchant à augmenter son capital et à accroître sa présence, tout le monde subit une dé-cristallisation brutale. D'autant que si Facebook est souvent critiqué, Twitter a jusque-là toujours bénéficié d'une aura quasiment divine dans les médias mainstream, largement amplifiée par son rôle (exagéré, selon beaucoup des intéressés) dans les révolutions arabes. Ouaip. Le sujet, c'est le moins qu'on puisse dire, ne met pas très à l'aise. Et puis quoi, après ? L'Abbé Pierre faisait de la fraude fiscale ? Il n'y a plus rien de sacré en ce bas monde. Vous allez voir que bientôt, on va nous dire qu'Omar Sy et François Cluzet gagnent tout plein d'argent qu'ils gardent pour eux.
1er février. Il neige.
2 février. Il neige même sur Hollande.
3 février. Vous serez sans doute intéressés d'apprendre qu'il neige toujours (surtout dans les médias).
4 février. Il ne neige pas en Syrie, à part des bombes. J'ai du mal à me dire que ça fait bientôt un an que ça dure. Un an que personne ne fait rien. Un an que les gouvernements sont aussi pleutres. Les statistiques sont devenues depuis longtemps abstraites. Oh, je sais. Ma réflexion géopolitique est proche du café du commerce. C'est que même affalés sur le comptoir après trois cafés-calva, Jean-Louis et Hervé arrivent encore à s'émouvoir de ce qu'un peuple se fasse ainsi... quoi, d'ailleurs ? Massacrer ? Génocider ? On a l'impression qu'aucun terme ne conviendra jamais, et cette faillite des mots n'est pas uniquement due au café-calva. Vingt-cinq ans qu'on nous rabat les oreilles avec les "guerres justes" ? Qu'a donc celle qu'on ne fait pas en Syrie de si injuste ? Pourquoi là, il faudrait juste regarder ? Non, quand même. On ne va pas regarder de ce côté. De toute façon il y a peu d'images - voilà qui est commode. Comme ça, on peut tourner la tête et regarder tomber la neige. Au moins ça, c'est immaculé.
5 février. "Putain, t'as jamais vu de la neige ou quoi ?!", s'exclame mon voisin de bureau tandis que Claude Guéant déclare que "toutes les civilisations ne se valent pas." Bizarrement, les interminables flashes info sur la neige me semblent tout un coup plus supportables.
6 février. Je retire ce que j'ai dit hier. J'en ai ma claque. Cela fait six jours maintenant que ça dure, c'est épuisant. Déjà le premier jour c'était nerveusement assez éprouvant, avec notamment ce journaliste de France Bleu qui avait décidé de lire un à un tous les SMS d'auditeurs signalant de la neige sur leurs routes... c'est-à-dire TOUTES les routes, puisqu'il neigeait à peu près partout... Et le pire, c'est qu'on a déjà eu droit à ça l'an dernier. Et l'année d'avant. La preuve par Le Golb. On aurait pu en faire des copier/coller. Et justement voilà que le site du Figaro (oui, je sais, ce genre de chose arrive parfois) publie une interview passionnante (et rassurante) de l'historien du climat Emmanuel Garnier, qui nous explique tout : en fait, c'est un problème culturel typiquement français, peut-être même un drame ontologique. "... les Français considèrent qu'un bon hiver est un hiver sans neige et sans verglas en ville ou sur les routes mais avec un parfait enneigement dans les stations de ski… Globalement, ils ne sont jamais contents du temps qu'il fait." Tellement vrai. J'ai même réellement entendu - et plusieurs fois - la phrase "mais comment est-ce encore possible en 2012 d'être bloqué par la neige ?" ; j'ai même assisté - je vous jure que je n'invite rien - à un débat sur l'idée de rendre les pneus neige obligatoires - pas qu'en Savoie, hein. Partout. Partout dans notre pays où il neige rarement plus de dix jours par an. Lesgens Français sont fous.
8 février. Et le premier Point Godwin d'Or 2012 est attribué à... Monsieur Serge Letchimy, pour son très joli texte adressé à Claude Guéant. Bien entendu je n'en pense pas un mot : le texte de Letchimy était surtout classieux et il n'a pas marqué de point Godwin, même si bien sûr les crétins congénitaux (ça faisaient longtemps) des médias se sont rués dessus comme un seul homme. Au-delà de la polémique, c'est ce qui m'a toujours un peu emmerdé avec le point Godwin : il est, sur le Web et de plus en plus en dehors, une espèce de négation absolue de la réflexion intellectuelle et historique. On peut légitimement considérer que contrairement à l'idéologie relativiste des forumeurs, tous les points Godwin ne se valent pas. On peut tout à fait s'offrir, et parfois à peu de frais, un point Godwin on ne peut plus légitime et acceptable du point de vue analytique, ce qui est évidemment le cas de Serge Letchimy. L'existence de cette loi interdit de facto tout rapprochement entre deux idéologies mouvements idéologiques similaires, peu importe que ce rapprochement soit pertinent et puisse être argumenter.
9 février. Officiellement la longue interview programmatique de Nicolas Sarkozy ne sortira qu'après demain, mais apparemment depuis quelques heures, tout le monde l'a déjà lue, ce qui est un phénomène assez spectaculaire. Bref : c'est un peu salaud de faire ça maintenant (mais il est vrai qu'à l'époque où les éditos étaient le mercredi, le gouvernement aimait déjà bien me faire ce genre de coup de pied de l'âne), mais nous aurons encore le temps d'y revenir.
10 février. "On connaît l'intégrité d'Eric Woerth, elle a été éprouvée par la vie." (son avocat, qui n'arrivera probablement à le faire acquitter mais doit bien réussir à le faire sourire dans la tourmente).
28 janvier. "Hé dis donc, je suis en train de lire ton Rouge et le Noir, et il y a toujours pas Jeanne Mas." (Cauet, mettant fin à une étonnante tentative de contre-emploi le montrant apparaissant un livre à la main).
29 janvier. "Après Gainsbourg, Kravitz... Vanessa Paradis passe d'un génie à un autre." (Un journaliste de TMC dont je n'ai malencontreusement pas retenu le nom, et dont je ne suis d'ailleurs pas tout à fait sûr qu'il ait une carte de presse. Hein dis Maman, ça n'existe pas vraiment des journalistes comme ça ?...)
30 janvier. Les inquiétudes entourant le possible filtrage de messages sur Twitter donnent à réfléchir, d'une manière ou d'une autre, sur la place qu'occupent - comprendre : que l'on a octroyé aux - les réseaux sociaux. Cela faisait justement plusieurs semaines que je m'interrogeais à ce sujet, notant la manière dont Twitter (et Facebook, ne faisons pas de jaloux) étaient traités dans les médias. Pas dans les reportages à leur sujet, bien entendu. Dans le reste des médias. Leur banalisation progressive. Le renvoi spontané et systématique à la page Facebook de l'émission, au compte Twitter de l'association... etc. On en parle comme on parlerait de La Poste ou d'un quelconque service public. Bien sûr, tout le monde a bien conscience que ce n'est pas le cas, même si l'on pourrait citer bien des situations où ils ont accomplis (passivement) une mission de service public. Tout le monde en a bien conscience mais pourtant, lorsque des millions de gens découvrent que Twitter est une multinationale cherchant à augmenter son capital et à accroître sa présence, tout le monde subit une dé-cristallisation brutale. D'autant que si Facebook est souvent critiqué, Twitter a jusque-là toujours bénéficié d'une aura quasiment divine dans les médias mainstream, largement amplifiée par son rôle (exagéré, selon beaucoup des intéressés) dans les révolutions arabes. Ouaip. Le sujet, c'est le moins qu'on puisse dire, ne met pas très à l'aise. Et puis quoi, après ? L'Abbé Pierre faisait de la fraude fiscale ? Il n'y a plus rien de sacré en ce bas monde. Vous allez voir que bientôt, on va nous dire qu'Omar Sy et François Cluzet gagnent tout plein d'argent qu'ils gardent pour eux.
1er février. Il neige.
2 février. Il neige même sur Hollande.
3 février. Vous serez sans doute intéressés d'apprendre qu'il neige toujours (surtout dans les médias).
4 février. Il ne neige pas en Syrie, à part des bombes. J'ai du mal à me dire que ça fait bientôt un an que ça dure. Un an que personne ne fait rien. Un an que les gouvernements sont aussi pleutres. Les statistiques sont devenues depuis longtemps abstraites. Oh, je sais. Ma réflexion géopolitique est proche du café du commerce. C'est que même affalés sur le comptoir après trois cafés-calva, Jean-Louis et Hervé arrivent encore à s'émouvoir de ce qu'un peuple se fasse ainsi... quoi, d'ailleurs ? Massacrer ? Génocider ? On a l'impression qu'aucun terme ne conviendra jamais, et cette faillite des mots n'est pas uniquement due au café-calva. Vingt-cinq ans qu'on nous rabat les oreilles avec les "guerres justes" ? Qu'a donc celle qu'on ne fait pas en Syrie de si injuste ? Pourquoi là, il faudrait juste regarder ? Non, quand même. On ne va pas regarder de ce côté. De toute façon il y a peu d'images - voilà qui est commode. Comme ça, on peut tourner la tête et regarder tomber la neige. Au moins ça, c'est immaculé.
5 février. "Putain, t'as jamais vu de la neige ou quoi ?!", s'exclame mon voisin de bureau tandis que Claude Guéant déclare que "toutes les civilisations ne se valent pas." Bizarrement, les interminables flashes info sur la neige me semblent tout un coup plus supportables.
6 février. Je retire ce que j'ai dit hier. J'en ai ma claque. Cela fait six jours maintenant que ça dure, c'est épuisant. Déjà le premier jour c'était nerveusement assez éprouvant, avec notamment ce journaliste de France Bleu qui avait décidé de lire un à un tous les SMS d'auditeurs signalant de la neige sur leurs routes... c'est-à-dire TOUTES les routes, puisqu'il neigeait à peu près partout... Et le pire, c'est qu'on a déjà eu droit à ça l'an dernier. Et l'année d'avant. La preuve par Le Golb. On aurait pu en faire des copier/coller. Et justement voilà que le site du Figaro (oui, je sais, ce genre de chose arrive parfois) publie une interview passionnante (et rassurante) de l'historien du climat Emmanuel Garnier, qui nous explique tout : en fait, c'est un problème culturel typiquement français, peut-être même un drame ontologique. "... les Français considèrent qu'un bon hiver est un hiver sans neige et sans verglas en ville ou sur les routes mais avec un parfait enneigement dans les stations de ski… Globalement, ils ne sont jamais contents du temps qu'il fait." Tellement vrai. J'ai même réellement entendu - et plusieurs fois - la phrase "mais comment est-ce encore possible en 2012 d'être bloqué par la neige ?" ; j'ai même assisté - je vous jure que je n'invite rien - à un débat sur l'idée de rendre les pneus neige obligatoires - pas qu'en Savoie, hein. Partout. Partout dans notre pays où il neige rarement plus de dix jours par an. Les
8 février. Et le premier Point Godwin d'Or 2012 est attribué à... Monsieur Serge Letchimy, pour son très joli texte adressé à Claude Guéant. Bien entendu je n'en pense pas un mot : le texte de Letchimy était surtout classieux et il n'a pas marqué de point Godwin, même si bien sûr les crétins congénitaux (ça faisaient longtemps) des médias se sont rués dessus comme un seul homme. Au-delà de la polémique, c'est ce qui m'a toujours un peu emmerdé avec le point Godwin : il est, sur le Web et de plus en plus en dehors, une espèce de négation absolue de la réflexion intellectuelle et historique. On peut légitimement considérer que contrairement à l'idéologie relativiste des forumeurs, tous les points Godwin ne se valent pas. On peut tout à fait s'offrir, et parfois à peu de frais, un point Godwin on ne peut plus légitime et acceptable du point de vue analytique, ce qui est évidemment le cas de Serge Letchimy. L'existence de cette loi interdit de facto tout rapprochement entre deux idéologies mouvements idéologiques similaires, peu importe que ce rapprochement soit pertinent et puisse être argumenter.
9 février. Officiellement la longue interview programmatique de Nicolas Sarkozy ne sortira qu'après demain, mais apparemment depuis quelques heures, tout le monde l'a déjà lue, ce qui est un phénomène assez spectaculaire. Bref : c'est un peu salaud de faire ça maintenant (mais il est vrai qu'à l'époque où les éditos étaient le mercredi, le gouvernement aimait déjà bien me faire ce genre de coup de pied de l'âne), mais nous aurons encore le temps d'y revenir.
10 février. "On connaît l'intégrité d'Eric Woerth, elle a été éprouvée par la vie." (son avocat, qui n'arrivera probablement à le faire acquitter mais doit bien réussir à le faire sourire dans la tourmente).
Quoi? Il a neigé récemment??
RépondreSupprimerun post à lire en écoutant... "Tombe la neige", d'Adamo, evidemment
RépondreSupprimerMoi je crie à la désinformation des médias sociaux. J'étais en Espagne, je suis rentrée, et il n'y a pas une trace de neige dans Paris.
RépondreSupprimerConcernant la neige, je fais partie de ces gens qui hallucinent de voir les voitures bloquées pas 3 cm de neige. Des énormes chutes, OK, un blocage est logique... Mais 3 cm...^^
RépondreSupprimerAprès, le fait est que... rien qu'à l'échelle de la France c'est très inégal: en 4 ans à Nancy, avec bien plus de neige et de verglas, j'ai jamais vu un seul problème. Paris, par contre. C'est comme quand on m'annonce que mon RER a du retard à cause du froid - ou pire, à cause de feuilles mortes sur les voies (leur nouveauté depuis l'automne dernier): je râle pas forcément (enfin si, mais bon je râle toujours), mais je comprends pas tout simplement.
(Après, les pneus neige... ca fait des années qu'ils sont obligatoires dès que la température passe sous les 7°C, en Allemagne... Et toute bonne idée que ce soit, à un moment faut arrêter de tout piquer aux Allemands.)
Concernant le Point Godwin, pour moi il n'existe vraiment que quand il surgit dans une conversation au sujet totalement différent. Là à l'Assemblée, pour moi c'en était pas vraiment un... Par contre, si on me traite de nazi dans un débat sur les mérites de Muse ou de Marc Lévy, c'est assez con pour être un point Godwin...
Après, Twitter... je trouve ça très surfait. Et ça a plus tend&ance à m'énerver qu'autre chose, en ce sens que c'est au final l'inverse d'un réseau social ,la réponse directe étant impossible, tout RT et "@machin" qu'il y ait.
Surtout quad on voit des comptes qui consistent à 95% à poster des leins vers les articles de blogs que les gens vont liker plutôt que commenter... Facebook et Twitter, à mes yeux, tuent le débat plus qu'ils ne l'alimentent.
Eh ben, ça faisait longtemps que j'avais pas commenté à ce point un édito.
ah putain il est bon celui là!
RépondreSupprimerquant aux Syriens, c'est bien fait pour leur gueule, ils ont qu'à avoir Twitter...
J'attendrai donc. Parce qu'il y en aura, des choses à dire, sur les nouvelles 'idées' de Sarkozy. Beaucoup.
RépondreSupprimerBBB.
D'un autre côté c'est vrai qu'il fait froid :4
RépondreSupprimerAh et sinon j'ai beaucoup aimé le "tous les points Godwin ne se valent pas" :)
RépondreSupprimerEt pas un mot sur Jeannie Longo ? Pourtant y aurait de quoi rire!!
RépondreSupprimerpppfff vous croyez que 3cm de neige bloquent les gens à Paris, venez voir à Toulouse !!! C'était le commentaire sur le temps qu'il fait du jour (bouh j'ia honte !)
RépondreSupprimerPost très réjouissant, c'est ce que j'ai lu de plus drôle et de plus juste cette semaine. Et sur le point Godwin, je ne me l'étais pas formulé aussi clairement, mais c'est exactement ça.
RépondreSupprimerAl >>> à choisir je pense que je préfèrerais le faire en écouter "Il a neigé sur Yesterday" (j'ai un coupable penchant pour Marie Laforêt).
RépondreSupprimerMelou >>> il a neigé, cette nuit, non ? Ah, tu devais dormir bien sûr. Tu fais pas beaucoup d'efforts quand même ^^
Guic >>> Bien résumé sur le point Godwin. Cela dit on peut aussi te traiter de nazi dans une discussion sur le black metal, et ce ne sera pas nécessairement idiot. Tout dépend ce que tu diras, en fait.
Xavier >>> jooooli :-D
Anonyme >>> tu voulais que je dise quoi ? En fait je m'en fous un peu de cette histoire. Mais je déteste tellement Jeannine Longo, le mythe de la championne du terroir qui serre les dents sur les routes et dans la vie, ce pipeau qu'on nous joue depuis trente ans... du coup j'ai plutôt tendance à me réjouir.
Antonia >>> merci :-)
yueyin >>> je ne dirais qu'une chose : "whaou !"
bizarre hein, le web? Je ne sais pas si le dessinateur Côté (Canada) est un fervent lecteur de ton blog, en tout cas, il a eu la même idée de dessin que moi... juste trois jours après l'édition de ton post: à voir aujourd'hui dans le diaporama de libé (dessin numéor 4), ici:http://www.liberation.fr/monde/11011852-la-syrie-vue-par-les-dessinateurs-de-presse#s4
RépondreSupprimerJ'allais dire que c'était sans doute un hasard, l'idée en elle-même étant relativement basique... mais c'est vrai que quand on voit le dessin, la ressemblance est vraiment troublante.
RépondreSupprimerEt donc, tu comptes porter plainte ? :-D
(By the way : le dessinateur s'appelle Coté, et non Côté (Canada) ^^)
RépondreSupprimerMerci pour le "basique"mon Thominou, je sens que je vais t'engager pour me trouver des idées ;! Bon on est d'accord que ce n'etait pas révolutionnaire... juste que le timing de parution, l'angle des personnages... bon j'arrete parce que ca ne sert à rien de continuer à se plaindre. Ca m'enerve juste un peu car c'est la 2e fois que ca m'arrive, de trouver un dessin similaire suite à une parution
RépondreSupprimereuh là c'est pas seulement la meme idée, c'est le meme dessin...
RépondreSupprimerHé c'est bon ça va, m'engueule pas non plus ! ^^
RépondreSupprimerJe suis juste un garçon mesuré. Et qui, pour l'avoir expérimenté lui-même, sait que le plagiat est le plus souvent indémontrable. Donc je préfère en rire, mais ça ne m'empêche pas de trouver ça évidemment étonnant.