dimanche 9 octobre 2016

[GOLBEUR EN SÉRIES '16-17] Semaines 3 & 4

Un épisode un peu particulier (et chargé) cette semaine, puisque mon ordinateur m'a abandonné en rase campagne, engloutissant toutes mes notes et m'obligeant à ré-écrire cet article (et d'autres) totalement à l'arrache. Ce qui nous fait un copieux menu avec du remakebootval en veux-tu en-voilà (Evil Dead, Dragon ball Super, MacGyver, Westworld, l'Exorciste... il n'y a vraiment plus que cela...), et heureusement quelques trucs originaux dans le tas (pas forcément pour le mieux, cela dit).

ASH vs. EVIL DEAD (saison 2) Une grosse partie du plaisir pris devant la première saison venant avant tout de la joie des retrouvailles avec Bruce Campbell, on pouvait légitimement s'interroger sur ce qu'allait donner une suite que pas grand monde n'appelait spécialement de ses vœux. La réponse, malheureusement, était assez évidente : rien. Non qu'Evil Dead soit une mauvaise série : elle est plutôt sympathique, et ce season premiere comme tous les épisodes à ce jour contenait son lot de gags réussis (au milieu d'autres très poussifs). Mais elle semble complètement tributaire de l'humeur dans laquelle on se trouve au moment où on lance l’épisode, ce qui est toujours un peu emmerdant (une bonne comédie est drôle tout le temps, même quand vous venez de vous faire plaquer - c’est d'ailleurs pour ça que vous la regardez à ce moment-là). Celle-ci manque trop de souffle ou de fraicheur. A vrai dire, personne ne le dit parce qu'à part deux ou trois illuminés tout le monde aime Sam Raimi et Evil Dead, mais il est bien possible que de toutes les adaptations de films et autres remakebootvalTM qui pullulent depuis trois ans (on va le voir juste en-dessous), celle-ci soit l'une des plus cyniques et des plus indigentes, en ce qu'elle n'a pas le plus début d'une idée ou d'un truc à raconter - ne parlons pas même d'une quelconque "vision" de ce à quoi pourraient ressembler les aventures d'Ash en 2016. Ash vs. Evil Dead c'est juste du vent, rien que du vent, mais joliment brassé parfois, par des gens qu'on aime plutôt bien. Difficile du coup d'arriver à vraiment la détester... ou l'aimer.

Et pourtant, j'ai tendance à être d'une grande faiblesse quand il y a Lucy Lawless dans un casting...

DRAGON BALL SUPER Depuis la fin de son troisième arc, Dragon Ball Super s'essaie à des trucs dont on se doutait bien qu'elle ne les maîtrisait pas trop : drame, suspens, peut-être même retour des combats à morts... cet arc tellement mystérieux qu'il n'a pas d'autre nom que "Trunks du futur" promettait un retour à quelque chose de plus proche des moments les plus sérieux de Dragon Ball Z... et casse un peu (pas complètement) la belle dynamique dans laquelle était entrée la série depuis quelques mois. D'abord parce que dans l'absolu, cette histoire n'a ni queue ni tête (le futur de Trunks n'est plus depuis longtemps le futur de nos héros... croyait-on), ensuite parce que les dessinateurs ne se sont pas trop foulés (le futur de Trunks ressemble  s'y méprendre à celui de l'OAV l'Histoire de Trunks, c'est-à-dire que 15 ans après, rien n'a été reconstruit), et enfin parce que le scénario fait monter la sauce comme ouf de sa mère autour des identités/motivations de Black et Zamasu depuis tellement d’épisodes que chaque réponse délivrée est un peu moins intéressante que la précédente. Le truc, c'est qu' on s'en fout un peu de ce futur composé de personnages qu'on ne connaît pas vraiment (Akira Toriyama avait eu l'intelligence de ne pas faire de la seule préservation du futur l'axe principale de son arc "Cyborgs"), et qu'on s'en fout même un peu de ce Trunks encore plus gnangnan que l'original, qui n'a pas progressé d'un iota depuis la dernière fois qu'on a l'a vu alors que même les enfants ont passés 271 niveaux entre temps. Et puis ils sont sympas les scénaristes, mais comme ils n'ont pas les moyens de proposer des combats léchés et spectaculaires, les enjeux tournent un peu à vide et la plupart des affrontement se limitent à deux-trois coups de poings, une boule d’énergie et beaucoup de blabla (c'est comme ça depuis le début de DBS, mais cela se voit encore plus dans ce chapitre). Heureusement, ils ont un truc qui joue en leur faveur : la capacité (et probablement l'autorisation explicite de Toriyama) de réellement enrichir l'univers de Dragon Ball. Alors que l'on pouvait craindre au départ une course à l'upgrade du Super Saiyajin God, on a aura eu la bonne surprise de voir débouler des tas de nouveaux personnages secondaires, de nouveaux lieux, de voir approfondis certains aspects de la mythologie (la hiérarchie des kaïoshins en ce moment, l'origine des Dragon Ball dans l'arc précédent)... tout un tas de choses assez chouettes et scénaristiquement intéressantes que l'on attendait pas du tout et qu'on aimerait bien désormais voir passer au premier plan (Zamasu est un bad guy trop fade pour qu'on y passe encore six mois). Il va quand même être temps pour DBS de porter son nom, non ?

Ah oui, et puis Trunks a désormais les cheveux bleus. Ne cherchez pas.

👍 The EXORCIST Comme tout chroniqueur digne de ce nom, j'étais prêt. Ma note était déjà quasiment écrite, avant même d'avoir vu une seule minute d'une série qui ne parviendrait jamais à justifier son existence. L'affaire était entendue : les remakebootvals, ça pue du cul, surtout lorsqu'il s'agit d'adapter un film déjà largement surestimé à la base. C'est ce qui est cool dans le job de chroniqueur : on peut enclencher assez régulièrement le pilotage automatique. Parce qu'on est un gros flemmard, en premier lieu, qui ne va tout de même pas se fatiguer à regarder intégralement les trucs dont il parle. Malheureusement pour ma flemme et celle de tous mes confrères, après seulement quelques épisodes de la nouvelle série-phare de la FOX, la messe noire est dite : crotte, encore une série à regarder. The Exorcist, c'est bien. Non : The Exorcist, c'est mieux, puisque c'est suffisamment bon et assez plein de potentiel pour devenir plus que bien au fil des semaines. Il y a un casting, il y a une réalisation, il y a un scénario bien charpenté à défaut d'être très original, et bien sûr il y a une ambiance subtilement malsaine, élément incontournable sur une chaîne grand-public interdisant par définition d'aller trop loin dans le grand-guignol (un mal pour un bien, assurément). Surtout, il y a dans The Exorcist une dynamique, soit donc ce qui manquait cet été à Outcast. On ne s'ennuie pas une seconde devant, alors même que l'option feuilleton centré sur un unique exorcisme avait tout de la fausse bonne idée. Tant et si bien que si l'on ne peut affirmer que la série s'inscrira dans la durée, il est difficile de ne pas être optimiste. La comparaison avec la prétentieuse Outcast, d'ailleurs, n'a pas réellement lieu d'être une fois passés les hasards des calendriers (qui n'en sont que rarement) : s'il y a bien une chose qui étonne dans The Exorcist, la série, c'est la sobriété de l'ensemble, ce sentiment que Jeremy Slater est parfaitement conscient qu'il adapte l'un des films les plus cultes de tous les temps et qu'il le fait avec une grande humilité, sans chercher à en faire des caisses. Bon, c'est vrai aussi que quand le seul truc notable sur votre CV est d'avoir écrit l'affreux reboot des Fantastic Four, ça doit avoir tendance à rendre modeste...

Il est bien connu que quand vous suspectez la présence d'un démon dans une maison, il faut aller vérifier ce qui se passe au grenier plutôt que de louer une chambre d'hôtel.

👎👎 FALLING WATER Lent, chiant, pompeux, verbeux, prévisible, gris. Oh et ça ne fait même l'effort de dissimuler que ça surfe sur le succès de Sense8. Next.

👍 The GOOD PLACE Par curiosité, juste pour savoir : y avait-il une seule personne sur cette terre qui pensait sérieusement qu'une nouvelle série de Michael Schur (The Office US, Parks, Brooklyn Nine Nine) avec Kristen Bell et Ted Danson dans le rôle du Grand Architecte avait la moindre chance d’être ratée ? Qu'il ou elle se dénonce tout de suite et vienne faire amende honorable. Et qu'il ne la ramène pas en disant que les débuts de The Good Place n'ont rien d'extraordinaires : toutes les séries de Schur ont le même défaut, et généralement, arrivé au milieu de la saison, tout le monde est d'accord pour dire que ce sont les comédies les plus efficaces à l'antenne. The Good Place n'est pas encore parfaite. Son rythme peut encore être amélioré, tous comme ses personnages. Mais il y a déjà tellement d'idées en quelques épisodes qu'il paraît inconcevable qu'elle ne s'inscrive ne soit pas là pour rester.

👎👎 MacGYVER 1985 : MacGyver déboule sur l'ABC semi-sinistrée de l'ère Reagan. Il est délicat, intelligent, non-violent, féministe, écolo, globalement asexué (même si on apprendra sur le tard qu'il a fils). Il n'a pas de prénom durant un paquet d'épisodes mais surtout, il est le plus grand bricoleur de l'univers. Il devient instantanément l'idole de millions d'enfants qui, comme moi et certainement vous, ont demandé à leurs parents un couteau suisse pour Noël. 2016 : Angus MacGyver a beau (re)débarquer sur CBS, chaîne des vieux, il ressemble à un minet venu pécho tout ce qui porte une jupe (ou pas), ce qu'il exécute quasiment dès le premier plan. Il est intelligent, le sait, le montre. Il a un prénom et tient à nous en informer dès la première phrase. Il est non-violent mais il se bat au bout de six minutes du pilote. Pour ce qui est des aspects féministes et écolo, on ne se prononcera pas trop, puisqu'il aurait fallu tenir encore peu, ce qui arrivé au générique (une mélodie complètement anonyme) paraît quasiment impossible tant c'est mauvais et tant, surtout, cela n'a strictement rien à voir avec MacGyver - au point que l'on se demande si les auteurs de cette purge ont déjà regardé un épisode de la série d'origine. Quand on sait à quel point le personnage incarné par Richard Dean Anderson fut une icône pop, sans doute plus en raison de son décalage par rapport aux autres héros de séries de l'époque que parce que la sienne était bonne (elle l'était, mais pas plus que ça, et elle a assez mal vieilli), il y a vraiment de quoi crier au scandale. Parce que c'est vraiment le cas : cette série n'était pas une très bonne idée sur le papier, mais dans les faits, c'est carrément une honte violant nos rêves d'enfances avec un tel cynisme que CBS mériterait d'être boycottée pour les dix prochaines années. Heureusement qu'il y a eu X-Files en 2016, sans quoi tout le suspens des prochains Drawas serait déjà mort et enterré.

Même un vieux scan de la série de 85 a l'air moins ringard que celle de 2016.

👎👎 ONCE UPON A TIME (saison 6) Ça m'a frappé d'un coup. Comme ça. En plein épisode. En pleine scène de tension. Putain ! me suis-je quasiment écrié, Mais comment est-il possible qu'avec tous les Drawas que Once Upon a Time a récolté depuis six ans il n'y en ait pas eu un seul pour Jennifer Morrison ? Elle est tellement... NULLE. Et mon Dieu, même maintenant, à tête reposée : c'est vrai qu'elle est nulle. Nullissime, même. Peut-être pas la plus mauvaise actrice d'une série comptant un sacré paquet de gros nazes, mais assurément la plus mauvaise du main cast. Inexpressive la moitié du temps, et il vaut franchement mieux d'ailleurs, elle paraît surtout rigoureusement incapable de... jouer avec les fonds verts et autres incrusts, ce qui devrait être absolument rédhibitoire quand vous passez un casting pour une série où même les objets que vous allez tenir dans la main sont parfois faux. Je n'ai malheureusement pas trouvé de photo pour illustrer mon propos, mais il faut la voir dans les scènes où son personnage pratique la magie. C'est consternant. Elle est presque toujours la seule de tous les comédiens présents à l'image qui soit incapable de regarder dans la bonne direction. Et lorsqu'elle doit exécuter une magie très puissante, on dirait juste qu'elle est en train de... j'ose à peine le dire... Écoutez, on dirait tout simplement qu'elle est en train de faire caca. Plus je regarde la série, plus je suis hanté par la conviction que l’Académie des Drawas a commis une erreur irréparable. Que Jennifer Morrison est de loin la plus mauvaise actrice de série de sa génération, depuis des années, et que tel un vulgaire Leonardo DiCaprio, il va falloir un lobbying d'Enfer pour qu'un juste hommage lui soit rendu. Dont acte : l'an dernier, Jennifer n'a fait que deuxième, avec 20 voix, très loin derrière la gagnante. Je ne dis pas ça pour vous influencer mais cette année, réfléchissez bien avant de voter.

👍👍 WESTWORLD Ils sont chiants, chez HBO : quelle idée de balancer l'épisode 2 en avance, et franchement quel intérêt ?... si ce n'est bien sûr de niquer ma note sur le pilote, que je n'ai eu le temps de visionner qu'hier soir. Salopards, va. Bon. Ceci posé, le pilote en question était vraiment chouette, même si un peu long (l'interminable séquence de "show" aurait sans doute gagnée à être raccourcie, puisqu'elle était totalement exempte d'enjeux dramatiques, mais ce n'est pas moi qui vais aller juger des mecs tout contents de pouvoir filmer une battle de cowboys totalement overzetop). Les différentes intrigues s'imposent naturellement, la narration est fluide en dépit du nombre élevé de personnages, la réalisation est top et le tout propose suffisamment de mystère pour donner très très envie de regarder la suite. Inutile de préciser qu'on aura sans doute largement l'occasion d'en reparler dans cette rubrique dans les semaines à venir.


... à part ça...

- incroyable mais vrai : les superhéros de la CW ont réussi leur come-back cette semaine, en revenant chacun à ses fondamentaux. Soit donc un épisode plutôt léger et fun où le monde est sauvé par le pouvoir de l’amour (The Flash), et un autre semi-dépressif et gravement badass où la ville est sauvé par le pouvoir de l’incohérence scénaristique (Arrow). Si ça se trouve, Greg Berlanti surfe sur la mode des revivals et a décidé de rebooter l’année 2014 sans nous le dire.

- incroyable mais vrai : le final de Fear the Walking Dead était assez moyen, en tout cas loin du niveau général de la saison, se résumant à une tentative un brin artificielle de recoller les morceaux d’une intrigue devenue très éclatée. Cela dit, comme ce sont des malins chez AMC, ils ont eu l’idée de le coupler à l’excellent avant-dernier épisode, ce qui fait qu’on aura malgré tout passé une très bonne soirée.

- incroyable mais vrai : American Horror Story fait re-peur. Au sens de frémir, pas de filer la nausée - pour cela la série n’a jamais cessé de s’y entendre. Mieux : après cinq épisodes, aucun personnage ne s’est mis à chanter. Ni à faire des blagues.

- totalement croyable, mais vrai tout de même : après un début de saison sur les chapeaux de jambes pas lavées, You’re the Worst est redevenue la série la plus déprimante actuellement à l’antenne. Ouf.

- totalement croyable, mais encore plus vrai : Aquarius a été annulée au terme de sa seconde saison.

- incroyable mais vrai : Aquarius a eu une seconde saison !!!

21 commentaires:

  1. Beaucoup aimé les débuts de Westworld. Le clacissisme de la réalisation va très bien à cette histoire.
    En espérant que l'on saura nous surprendre, du côté du scénario.
    Ash était très médiocre en saison 1. Je ne voyais pas de raison que cela s'arrange, et n'ai pas regardé la suite.

    Bon dimanche.

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  2. Assez de ton avis quant à l'Exorciste. Une très bonne surprise, même si pour l'instant ce n'est "que" cela (je veux dire que sa qualité N°1, c'est de ne pas ressembler à ce que l'on attendait, il faudra donner plus pour durer).

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    1. Pas faux. On verra bien comment ça évolue, pour le moment ça se maintient.

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  3. Je l'ai trouvé bien moi, le final de FTWD...

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    1. Je n'ai pas dit qu'il était mauvais ^^

      Mais je m'attendais à un peu mieux vu le niveau général de la saison. Mais je me répète, là, en fait ;-)

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  4. Rien à ajouter sur MacGyver. Tu as tout dit, et bien.

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    1. Oh, vu le mal que j'ai eu à tenir devant, je suis persuadé qu'il y avait plus à dire ^^

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  5. Ash -> tu me rassures, je viens de commencer (saison 1) et je trouve ça... un peu beauf-beauf, non ? :-)

    DBS -> lu en diagonale car j'ai commencé il y a peu de temps. Pour l'instant j'aime. Sans plus.

    The Exorcist -> Pas vu, j'ai horreur de l'horreur :)-

    Falling Water -> très moyen, mais je suis d'avis d'attendre un peu.

    The Good Place -> en tant que fils du Dieu certaines libertés avec la réalité m'ont choqué ^_^
    (surtout l'idée qu'un être aussi über-sexy que Veronica Mars soit interdite de Paradis... ils forcent sur la licence poétique :o-))

    Mac -> bidon.

    Once Upon A Time -> bien d'accord sur Jennifer Morrison. Mais le début de saison est plutôt sympa.

    Westworld -> on verra; à ce stade cela peut aussi bien être incontournable que soporifique...

    A plus tard mon bon !!

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    1. Je vois pas ce que Westworld a de sporifique...

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    2. Pareil. Thierry a dit ça aussi hier sur le CDB... et j'ai pas trop compris. C'était un peu long, mais je ne me suis du tout ennuyé ni assoupi devant.

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    3. J'ai globalement apprécié, mais l'effet GroundHog Day n'est que modérément apprécié par mon régulateur de sommeil.
      J'ai beaucoup plus de réserve sur le 1x02, par contre...

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    4. Et puis, le générique qui n'en finit pas ... heureusement qu'on peut le fastforwarder ^_^

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    5. Des réserves sur le 2 ? Ah. Moi je l'ai bien aimé également, les différentes intrigues avancent tranquillement, sans trop faire dans le "mystère mystérieux parce que tellement discret qu'il en devient énigmatique" ^^ Je me serais évidemment passé des innombrables scènes de cul et de violence, qui n'apportent rien à part nous rappeler qu'on est sur HBO (mais c'est pas grave, c'est des robots, on peut donc les violer et les massacrer sans problème... hein patron ? hein ?) mais à part ça... bon, tu as raison pour le générique, en revanche, très "affecté" et long. Et assez mal choisi, je trouve, car il donne d'entrée un côté très pompeux à une série dont l'écriture et la réalisation sont plutôt sobres et classiques.

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  6. En fait Dragon Ball Super, c'est la série que tu aimes regarder toutes les semaines mais dont tu n'arrives pas à dire du bien... ;)

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  7. T'as quand même bien du courage de continuer à regarder Once Upon A time. Déjà qu'au zénith de sa diffusion c'était "potable"....

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    1. Tu sais si je vivais seul, je pense que j'aurais abandonné il y a un moment (en milieu de saison 3 je dirais, ou à peu près).

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  8. Tu devrais pas écrire sur DBS avant que la trad de l'épisode de la semaine soit sortie...tu aurais l'air moins con ;))

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    1. C'est le problème avec les séries qui passent sur le samedi soir ^^

      Je n'ai toujours pas vu l'épisode de la semaine (j'ai un problème de convertisseur vidéo, d'ailleurs si quelqu'un a envie de m'aider...) mais à lire ton commentaire j'imagine que Trunks a atteint le niveau supérieur et buté tout le monde. Ce qui non seulement était prévisible, mais est en plus complètement pourrave (le mec passerait direct de Super Saiyajin 1.5 à Super Saiyajin God... sans entraînement ?... juste à la colère ?... qui serait plus forte que celle qu'il a ressenti gamin quand les cyborgs ont tué son Maître ?... ou dans cette même série quand Black a tué sa MÈRE ? Sans même parler de la souffrance pour y parvenir (les premières transformations des Saiyajin n'étaient pas que le fruit des leurs glandes ou de la génétique - mais j'entends bien que cet aspect a déjà été très malmené vers la fin de DBZ), c'est assez ridicule, quand même.

      Bon, si ça se trouve ce n'est pas du tout ce qui s'est passé dans l'épisode 61 et je vais avoir l'air encore plus con.

      Ou alors c'est exactement ce qui s'est passé et je vous écris en avant-première ma critique des deux prochains épisodes sans les avoir vus ^^

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    2. de Super Saiyajin 1.5 à Super Saiyajin God

      Au temps pour moi, il est encore tôt : il fallait bien sûr dire "de Super Saiyajin 1.5 à MIEUX QUE Super Saiyajin God".

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