Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais autant le grand public (américain, s'entend) a presque toujours tort (ou disons dans 80 % des cas) en matière de musique ou de littérature... autant il a presque systématiquement raison en matière de séries. Vous n'y aviez jamais fait gaffe ? Alors que les numéros uns des hits-parades ne sont quasiment jamais des trucs intéressants, les séries les plus populaires et successfull du monde en revanche constituent souvent un véritable indicateur de qualité (Lost étant évidemment l'un des exemples les plus frappants). Il y a bien quelques daubes, certes... mais beaucoup moins que dans n'importe quels autres charts, la meilleure preuve de cela étant que ces séries-là à quelques ringardes exceptions près (NCIS, Criminal Minds...) n'arrivent jamais jusque chez nous. Ce qui du coup nous amène à un constat particulièrement rassurant : quand on donne de la qualité au grand public, il est tout à fait capable de la reconnaître. A force d'être inondé de robinets à séries depuis plus de trente ans le téléspectateur lambda américain a fini par développer un esprit critique bien plus acéré que celui de son homologue français (qui lui ne fait quasiment aucune différence entre NCIS et Law & Order) et n'éprouve aucune difficulté à s'immerger dans des programmes bien plus complexes et ambitieux que la musique qu'il écoute. C'est peu dire qu'on aimerait bien qu'un jour les patrons de labels ou les éditeurs aient autant de culot que les patrons de networks américains. Parce que si l'auditeur était inondé d'équivalents musicaux à Lost ou 24 autant vous dire qu'on entendrait nettement moins souvent parler de Céline Dion et des Jonas Brothers.
Bref : alors que le proverbial Plus de 7 millions d'albums vendus aux États-Unis est un véritable repoussoir pour n'importe quel amateur de musique, le même slogan appliqué à une série aurait plutôt tendance à attirer... quitte à entraîner parfois quelques déconvenues - il y a toujours des exceptions confirmant la règle. 30 Rock, qui tire son nom du bâtiment abritant les studios de la NBC, en fait malheureusement partie... malheureusement parce qu'entre son following démentiel et son casting luxueux (Tina Fey - ex-scénariste du Saturday Night Live - et Alec Baldwin) on s'attendait à un truc extraordinaire pour finalement se retrouver face à une sitcom très traditionnelle, parfois drôle certes - mais franchement déjà-vue.
Le pilote est pourtant assez jubilatoire, qui montre la rédactrice en chef d'un programme comique "par les femmes et pour les femmes" confrontée à un nouveau président de groupe qui afin de respecter les quotas souhaite greffer sur l'émission un comique black aussi ringard que vulgaire, entre sous-Chris Rock, et Eddie Murphy normal (c'est-à-dire avec le même genre de blagues... trente ans plus tard)... bref, rien qui soit vraiment du goût de notre héroïne. Autant dire que ça s'annonce plutôt bien... et que ça retombe très vite. Au point qu'on se sente obligé de rassurer d'urgence quiconque n'aurait jamais vu le Saturday Night Live : Tina Fey a beau en avoir été une des vedettes, rien de commun entre cette sitcom un peu fadouille et le mythique programme américain - connu pour son énergie et son irrévérence. Si 30 Rock est parfaitement rythmée et si Alec Baldwin y est rayonnant, le tout manque beaucoup trop de mordant pour qu'on puisse voir en 30 Rock autre chose qu'une jolie vitrine faussement insolente pour le Network qui la diffuse.
Ce n'est pas nul pour autant, pas du tout ; en l'état et vingt-et-un épisodes plus tard, 30 Rock peut être vue comme un sitcom efficace, un bon gros divertissement familial en tout point bien portant. On regrette simplement que la satire annoncée se révèle aussi gentillette, qui n'écorchera ni l'image de NBC ni le monde de la télé (pire encore : ce sont les pauvres scénaristes qui s'en prennent le plus dans la tronche). Inutile de dire que dans le genre satire du showbiz on préfèrera cent fois revoir l'antique The Naked Truth, bien plus corrosive et (qui plus est) beaucoup plus facile d'accès pour un spectateur français qui peine parfois à saisir les innombrables références américano-américaines dans 30 Rock. Quant à la satire de la télé... comparer 30 Rock à la supra-culte (et bidissime) On the Air relèverait du mauvais esprit le plus sadique.
Bref : alors que le proverbial Plus de 7 millions d'albums vendus aux États-Unis est un véritable repoussoir pour n'importe quel amateur de musique, le même slogan appliqué à une série aurait plutôt tendance à attirer... quitte à entraîner parfois quelques déconvenues - il y a toujours des exceptions confirmant la règle. 30 Rock, qui tire son nom du bâtiment abritant les studios de la NBC, en fait malheureusement partie... malheureusement parce qu'entre son following démentiel et son casting luxueux (Tina Fey - ex-scénariste du Saturday Night Live - et Alec Baldwin) on s'attendait à un truc extraordinaire pour finalement se retrouver face à une sitcom très traditionnelle, parfois drôle certes - mais franchement déjà-vue.
Le pilote est pourtant assez jubilatoire, qui montre la rédactrice en chef d'un programme comique "par les femmes et pour les femmes" confrontée à un nouveau président de groupe qui afin de respecter les quotas souhaite greffer sur l'émission un comique black aussi ringard que vulgaire, entre sous-Chris Rock, et Eddie Murphy normal (c'est-à-dire avec le même genre de blagues... trente ans plus tard)... bref, rien qui soit vraiment du goût de notre héroïne. Autant dire que ça s'annonce plutôt bien... et que ça retombe très vite. Au point qu'on se sente obligé de rassurer d'urgence quiconque n'aurait jamais vu le Saturday Night Live : Tina Fey a beau en avoir été une des vedettes, rien de commun entre cette sitcom un peu fadouille et le mythique programme américain - connu pour son énergie et son irrévérence. Si 30 Rock est parfaitement rythmée et si Alec Baldwin y est rayonnant, le tout manque beaucoup trop de mordant pour qu'on puisse voir en 30 Rock autre chose qu'une jolie vitrine faussement insolente pour le Network qui la diffuse.
Ce n'est pas nul pour autant, pas du tout ; en l'état et vingt-et-un épisodes plus tard, 30 Rock peut être vue comme un sitcom efficace, un bon gros divertissement familial en tout point bien portant. On regrette simplement que la satire annoncée se révèle aussi gentillette, qui n'écorchera ni l'image de NBC ni le monde de la télé (pire encore : ce sont les pauvres scénaristes qui s'en prennent le plus dans la tronche). Inutile de dire que dans le genre satire du showbiz on préfèrera cent fois revoir l'antique The Naked Truth, bien plus corrosive et (qui plus est) beaucoup plus facile d'accès pour un spectateur français qui peine parfois à saisir les innombrables références américano-américaines dans 30 Rock. Quant à la satire de la télé... comparer 30 Rock à la supra-culte (et bidissime) On the Air relèverait du mauvais esprit le plus sadique.
✋ 30 Rock (saison 1)
créée par Tina Fey
NBC, 2006-07
Woputain ! Il a dit que NCIS est une série ringarde ! Le snobinard !
RépondreSupprimerEn même temps c'est du Bellisario... et ça se voit. Même la photo fait complètement datée :-)
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est ringard, mais c'est surtout très réac. Et 30 Rock, perso, je trouve ça plutôt marrant.
RépondreSupprimerEn même temps c'est du Bellisario (bis)... ;-)
RépondreSupprimerOui oui, très daté, et néanmoins des dialogues bien meilleurs que 95% de la production actuelle (même si c'est nunuche). NCIS est un vrai plaisir desprogien (cf l'épisode du corned beef, le pain mou et le gros rouge), mais qui n'est supportable que par ce bon travail sur la caractérisation.
RépondreSupprimerPour 30 Rock, j'ai programmé l'enregistrement de 3 épisodes ce soir, on va bien voir.
Je ne voudrais pas dire de bêtise, mais je ne suis pas sûr que Desproges aurait goûté l'idéologie ultra-républicaine qu'on retrouve dans NCIS ou JAG :/
RépondreSupprimerRoh quel snobinard ce Thom, il nous ressort comme référence une sitcom de Lynch & Frost que presque personne a vu! (tu me diras t'as pas menti en utilisant le terme "supra-culte" ;-))
RépondreSupprimerChristophe >>> euh oui... je ne comprends pas vraiment, ce doit être une question de philosophie. De même que je ne comprends pas vraiment les gens qui s'éclatent à mater des séries Z, moi je trouve juste ça nul... d'ailleurs non, je suis injuste avec les séries Z : c'est d'une nullité qui confine à la poésie. Alors que NCIS, je trouve surtout ça vachement beauf.
RépondreSupprimerSerious Moon >>> oui bon... n'exagérons rien non plus.
Doc >>> j'ai aussi sorti The Naked Truth, qui est un vrai "divertissement populaire", une sitcom "pure et dure"... mais On The Air... je n'y peux rien si :
- c'est super
- c'est une des rares séries à avoir vraiment déchiré... les séries (ou la télé en général). Pour ceux qui ne connaitraient pas c'est très court (sept huit épisodes je crois) et ça l'histoire d'une émission qui cartonne parce qu'elle est nulle (et va du coup pratiquer la surenchère dans le nul)... non non : rien à voir avec NCIS. Quoique :-)
J'♥ Criminal Minds. Tout à fait mon genre de série ;-)
RépondreSupprimerPar contre, 30 Rock c'est un peu comme Mad Men ou Dirty Sexy Money pour moi. Blah. :")
Euh... j'ai beau chercher, je vois pas trop le rapport entre les trois :-)
RépondreSupprimer"je ne comprends pas vraiment les gens qui s'éclatent à mater des séries Z"
RépondreSupprimerGna gna gna... ;-)
Ah mais... je ne juge pas, hein. C'est juste que c'est pas mon truc, pas ma culture, ou quelque chose de ce genre. Mais je fais bien la différence entre un fan de séries Z et un inculte, rassure-toi :-)
RépondreSupprimerThom : "je fais bien la différence entre un fan de séries Z et un inculte, rassure-toi :-)"
RépondreSupprimerouf !
Sinon, Serious moon, pas la peine de prendre la défense de Desproges maladroitement en lui prêtant des intentions alors que tu ne sembles pas le connaître. Sinon tu n'aurais pas écrit ça, sachant pertinemment que que l'épisode du corned beef dont je parle n'est pas un épisode de NCIS mais de desproges où il narre comment il a pu prendre du plaisir dans de la bouffe ignoble arrosé de pinard dégueu.
Et c'est sûrement la même raison qui te fait dire que NCIS est républicain alors que je ne vois pas en quoi c'est plus républicain ou démocrate : c'est vaguement patriote mais pas plus que beaucoup de séries américaines (en tout cas bien moins que 24 par exemple), contre la torture, ne jubilant pas sur des moyens invasifs de la vie privée des gens, etc. Bon, c'est un truc sur l'armée américaine, c'est sûr, mais pas besoin d'y voir le diable ici plus qu'ailleurs.
De te lire une prochaine fois avec un peu plus d'à propos ou d'argument. Ou à jeun.
J'adore NCIS... :(
RépondreSupprimer@ Christophe : qu'est-ce qui peut bien te laisser croire que j'ai pensé que l'épisode du corned beef renvoyait à NCIS? Enfin. Peu importe! Donald P. Bellisario, créateur de NCIS, est un encarté connu et adulé de ses pairs,ce n'est pas une invention de ma part. Son apologie de la superpuissance américaine (il a aussi fait Jag et Supercopter et plein d'autres), des nobles vertus de la famille américaine, de l'individualisme, du patriotisme, ce n'est pas moi non plus qui l'invente! Et merde, ce n'était qu'une boutade. On va pas disserter pendant deux heures sur un truc aussi nul :)
RépondreSupprimerSi ça c'est pas la preuve que l'apologie de l'armée mène toujours aux conflits... ^^
RépondreSupprimerSerious Moon (désolé pour le ton agressif de ma réponse hier, je ne m'en étais pas aperçu, je sortais d'une séance de tronçonneuse et je n'ai pas du me rendre compte que j'étais encore sous tension ^^) : Mais que Belissario fasse des daubes et soit républicain, c'est un fait qui n'entre pas en compte pour juger de NCIS en tant que républicain, ou apologiste de la famille (t'as vu ça où ? dans quel épisode ?), de l'individualisme (ah ouais ? s'il y a bien quelque chose qui est claire dans NCIS, c'est l'importance des interdépendances entre les individus). Bref, boutade ou pas, il y a de vrais motifs pour dessouder NCIS, mais là c'est à côté de la plaque.
RépondreSupprimerSinon, pour Desproges, le fait que tu n'aies pas saisi qu'on peut prendre un plaisir des pires merdes alors qu'on peut se croire au dessus de cela, c'est ça qui aurait du te faire réagir, pas une pseudo pensée prêtée à Desproges qui aurait détester cette série républicaine (cet humoriste de droite détestait d'ailleurs autant le prosélytisme de droite comme de gauche, et il aurait été navré ou non par NCIS pour des critères qui nous sont difficiles d'apprécier (enfin pour ma part, je n'aime pas faire parler les morts)).
Enfin, mon petit Thom, NCIS ne fait pas l'apologie de l'armée mais du sens de l'honneur, à la condition qu'il ne nuit pas à autrui. Et à ce titre, en plein cœur des années Bush, cette série a systématiquement critiqué la raison d'État, l'omerta des hiérarchies militaires lors qu'elles couvrent des crimes, etc. Et même à plusieurs reprises des références à Guantanamo comme un échec.
Maintenant, je conviens qu'il est toujours plus difficile de contre-argumenter sur une série esthétiquement peu réjouissante, et je vous souhaite bien du courage pour me contrer là-dessus ! je sens que les billets de Thom sur les séries américaines d'exception vont être trollées par un adepte acharné de NCIS, Law & order et autres CSI ^^
Pour 30 rock, c'est dans mon disque, je regarderai ça vite fait pour voir si c'est plus Bellissarien ou Bruckenheimesque.
Ah non mais attends... j'adore Law & Order, sa version SVU est une de mes séries préférées. Je trouve que ses histoires sont vraiment fortes, la construction des épisodes est souvent étonnante, qui ricochent tout le temps sur autre chose... Et CSI, même si je trouve que ça s'est beaucoup essoufflé depuis deux ans, il y a un ton que je trouve très personnel et agréable. Je ne mets pas du tout ça sur le même plan que NCIS.
RépondreSupprimerQuant à "dessouder" NCIS... bon, n'oublie pas quand même qu'au départ, tout ça est partie d'une vanne entre parenthèses :-) NCIS ne me dérange pas vraiment, et si je dis qu'elle est ringarde... c'est parce que ce n'est pas faux, ça pourrait aussi bien être une série des années 80 ; en fait depuis la création de cette rubrique on a souvent dit G.T. ou moi que Twin Peaks était "la matrice de toutes les séries modernes"... eh bien voilà : sur l'échelle de l'histoire des séries, NCIS serait une série pré-Twin Peaks et même pré-NYPD Blue, aussi bien dans la narration que dans les personnages où l'esthétique générale. Personnellement ça m'évoque une époque où "série américaine" était un gros mot pour la plupart des gens. Ca passerait le dimanche aprem sur TF1, je ne le relèverais même pas... c'est le fait que ça cartonne en prime-time qui me hérisse un peu, ça me donne l'impression qu'on détourne la mode des séries pour remplir avec un truc qui niveau créativité est quand même assez bas... alors que tout un tas de séries géniales soit ne passent pas, soit passent sur le câble, soit passent à des heures indues... mais bon, qu'on puisse y prendre un plaisir coupable, en matière de séries on a tous (moi c'est L Word). Et ne va pas croire que je dis ça sans l'avoir vue... NCIS, j'en ai bien vu une saison complète, peut-être un peu plus, de toute façon quand une nouvelle série débarque j'en regarde toujours au moins une saison (c'est mon minum pour me faire une opinion que j'estime censée) et là... en fait c'est un peu comme Shark, dont on parlait l'autre fois : quand je l'ai vue (c'était je crois la saison 1 ou 2, y'a déjà quelques temps), ça passait parce que je n'avais pas mieux sous la main, mais je l'ai quand même rangée mentalement dans le sac "série de seconde, voire troisième division", comme Shark, Criminal Mind et quelques autres...
Whalaut' eh ! Il commence à différencier NCIS et CSI alors que c'est quasiment les mêmes lettres ! Mauvaise foooiiiii ! ^^
RépondreSupprimerNCIS, ça veut pas dire Non Criminal Investigation by Science ? :-D
RépondreSupprimer@ Christophe : Maintenant, je conviens qu'il est toujours plus difficile de contre-argumenter sur une série esthétiquement peu réjouissante, et je vous souhaite bien du courage pour me contrer là-dessus !
RépondreSupprimerIl est difficile de contre-argumenter sur une série tout court. Parce que quand on ne l'aime pas, c'est sûr qu'on s'en est pas farci cinq saisons. Pas comme un disque, qu'on a pu écouter en entier parce qu'il dure une heure.
Aucun problème pour le ton de la réponse d'hier :)
Ou plutôt Now Count Iour Skelett (j'ai eu 4 au TOEIC)
RépondreSupprimerC'est déjà bien ;-)
RépondreSupprimerDonc pour certains, si j'aime NCIS c'est que je suis un beauf doublé d'un républicain admirateur de l'ordre et de la nation? Allons donc, c'est juste que je trouve les personnages, bien que très cricaturaux et prévisibles, attachants et droles (au moins pour les premières saisons). Bref j'aime bien au premier degré, contrairement aux "Experts" qu'on s'amuse avec ma femme à voir au second degré notamment en relevant les invraisemblances de scénarios et en surnomant les personnages (David Caruso = comissaire Droopy, pour son jeu monoexpressif!).
RépondreSupprimerL'avantage deces séries par rapport à celles (surement bien meilleures) qu'encense Thom, c'est que tu peux louper un épisode sans perdre le fil. Je me suis obligé à ne pas m'attaquer aux lost et autres 24 de peur d'avoir un jour à refuser tel concert ou telle invitation de potes pour ne pas louper un épisode crucial de ma série favorite...
Quant au coté beauf, j'essaye à tout prix (comme Desproge) de ne pas le réfréner, ma crainte étant bien plus de passer pour un bobo (horreur!).
B'en sur 200...
RépondreSupprimerFranchement c'est n'importe quoi. Je n'ai jamais dit que les gens qui aimaient NCIS étaient des beaufs, ni des réacs. On n'est pas ce qu'on regarde, ni ce qu'on écoute. Heureusement! Je pensais que sur le Golb tout le monde savait ça. Désolé d'avoir froissé ta susceptibilité.
RépondreSupprimerQuoi ? T'as traité Xavier de beauf ?! Alors que, enfin bon je... enfin c'est à dire que.. disons qu'il n'a pas tout... enfin...
RépondreSupprimer...
Quoi ?! T'as traité Xavier de beauf ?!
Christophe, le TOEIC c'est sur 990 (putain de compte anglais) et les points vont de 5 en 5.... (me demande pas pourquoi...)
RépondreSupprimerOn ne te demdnade pas des vannes vraies, mais on est en droit d'exiger un peu de vraissemblance, quand meme.... T'es sur le Golb, là... :-)
Christophe, tu permets ? Depuis le temps que je rêvais de le dire...
RépondreSupprimerFIGHT ! FIGHT ! FIGHT !
:-)
Ah, excusez moi, "demdnade", ca veut dire "demande", et je ne saurais vous dire comment je suis parvenu à taper ça...
RépondreSupprimeroulà, non non, il en faut beaucoup plus pour froisser ma susceptibilité! d'ailleurs mon comm ne te visait pas particulièrement, d'autant plus que j'avoue les avoir lu un peu en diagonale. dand le ton de l'article, on sent quand meme que NCIS est aux séries ce que la Starac est à la musique, j'avais juste envie de dire qu'il y avait des bloggueurs respectables (enfin j'espère) qui ne crachaient pas de temps en temps sur un sandwich paté de foie accompagné d'un gros rouge qui tache. respectables, mais un peu beaufs quand meme, on ne se refait pas...
RépondreSupprimerJ'aurais plutôt dit JJG...
RépondreSupprimerah JJG... j'ai une double cassette best of perso quelque part... je n'ai meme pas osé le mettre dans mon Hall of Shame, qui est pourtant assez gratiné...
RépondreSupprimerDe toute façon c'était ROCK'N'ROLL Hall of Shame ;)
RépondreSupprimerTu insinues que JJG n'est pas Rock n Roll? alors qu'il a trop saigné sur les Gibson?? ;)
RépondreSupprimerC'est pas le tout de saigner dessus, encore faut-il savoir en jouer...
RépondreSupprimerles comm sont encore plus drôles que ton billet brother... :-D moi je préfère NCIS à law & Order, parce que je suis une petite nature et que la seconde est très bonne mais me colle le bourdon :-)alors que la première me fait rire... pour le reste... c'est pas Walker non plus quand même(Celle qui passe TOUJOURS(je crois) le dimanche après midi :-)))Il y a combien de saison d'ailleurs en parlant de succès ;-) ?
RépondreSupprimerOh là... beaucoup ! Par contre je crois que la série est terminée depuis pas loin de dix ans, ce sont toujours les mêmes qui se repassent (enfin je crois...)
RépondreSupprimerD'un côté, c'est chiant, parce que tu me piques le point de départ que je comptais utiliser pour mon article sur les séries (celui dont j'ai parlé il y a environ 6 mmois à Systool et que je n'ai toujours pas fait... ça m'apprendra à toujours trainer^^), de l'autre, c'est chouette, parce qu'on est parfaitement en phase...
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il est assez réjouissant de voir que - en général - la qualité des séries paie, et touche le grand public... et que la série est devenu un genre capable de réconcilier et fédérer à la fois le grand public et les gens les plus exigeants... quel que soit le niveau de culture, on peut aimer Lost, 24, Prison Break, The Shield, etc... des séries captivantes, intelligentes, drôles (souvent), toujours très bien écrites, réalisées et jouées... on n'a pas du tout l'impression de regarder un truc honteux et bêta, comme ça peut être le cas avec tant de gros films, ou d'émissions télés...
Encore une fois, on peut ramener ça à Twin Peaks, qui a prouvé qu'on pouvait faire des séries originales et intelligentes sans ne s'adresser qu'à quelques esthètes...
Aux EU... tout le monde connaît Tony Soprano... tous ne regardent pas la série, bien sûr, mais qu'une telle série ait pu avoir un si grand succès, que Tony Soprano - comme Jack Bauer - deviennent des personnages incontournables de la culture populaire, c'est - encore une fois - réjouissant...
Ce n'est pas la musique qui a été fédératrice dans les années 2000... tout le monde s'est éparpillé dans des "micro-scènes"... mais s'est finalement retrouvé devant de grandes séries...
Je m'étonnais justement que tu ne m'aies pas déjà coupé l'herbe sous le pied... alors après Springsteen, disons match nul :-) Et puis ça reste quand même un article sur 30 Rock (même si sur 40 commentaires seulement un ou deux en parlent :-)), pas un grand article de fond... comme le sera à coup sûr le tien (de toute façon vu que nous sommes en phase les trois quarts de l'année, y'avait de fortes chances, à partir du moment où je m'attaquais sérieusement aux séries, de relancer notre love-story...).
RépondreSupprimerEt sur les personnages incontournables de la culture populaire... mille fois d'accord ! Kiefer Sutherland aura été une icône infiniment plus fédératrice que n'importe quel rocker durant cette décennie (je dis Kiefer, j'aurais tout aussi bien pu dire William Petersen ou Terry O'Quinn... trois stars de séries télé qui ont de surcroît un discours tout à fait intéressant, ce qui ne gâte rien).
Seul truc qui m'inquiète un peu... le succès entraine les modes qui entrainent la surproduction. Le marché US est en train de progressivement se saturer (en France aussi, mais pour l'instant on récupère encore la crème) avec des séries beaucoup moins intéressantes, la saison 2008-09 aura même été des plus pauvres en terme de nouveautés vraiment captivantes (et en plus la plupart des séries incontournables de la décennie s'arrêtent ou vont s'arrêter en 2010 (Prison Break, Lost, 24...) sans qu'aucune nouvelle ne semble en mesure de s'imposer)... et je crains qu'à terme, ça n'entraine une lassitude du public et un retour au statu quo d'avant ce "second âge d'or des séries" (TM)...
Alors... je rebondis sur ce dernier commentaire:
RépondreSupprimer1) Prison Break, vu les deux dernieres saisons c'est pas plus mal que ca s'arrete. Vraiment.
2)C'était quand le "premier age d'or des séries"? Et c'étaient lesquelles de séries?
1°) Je suis bien d'accord... même la 2 ne m'avait pas vraiment convaincu, mais la 1 est vrai un monument télévisuel :-)
RépondreSupprimer2°) Le premier âge d'or, c'est évidemment les années 90, avec l'immédiat après Twin Peaks qui voit débarquer la même année deux séries qui vont complètement révolutionner le genre : X-Files et NYPD Blue (j'aurais bien ajouté L&O... mais elle a commencé en 89). Et bien sûr plus tard The Player, les Sopranos, OZ. Plus trois sitcoms devenues archi-cultes : Seinfeld, Spin City et bien sûr Friends. Ce premier âge d'or est évidemment moins connu chez nous... parce que la plupart de ces séries sont arrivées en France sur le tard (NYPD Blue et Seinfeld, toutes deux très longues, ayant même été diffusée chez nous une fois terminée)
Ah putain, Spin City... Ah c'était bien.
RépondreSupprimerPar contre, une question me vient... A-t-on un mot pour distinguer les séries purement "serielles" (IE, tu rates un épisode tu comprends plus l'histoire, ca se suit, faut tous les voir, comme Prison Break, ou Twin Peaks), et les séries qu'on peut "picorer"??(Ce qui n'empeche pas une trame plus générale, comme par ex X Files)
Non. A la base l'un et l'autre sont des dramas. Il faut voir aussi que la série-sérielle est un phénomène beaucoup plus récent que la série en tant que telle. Dans les années 90, la plupart des séries (c'était le cas de X-Files, mais aussi de NYPD Blue) étaient à mi-chemin entre les deux. Ca s'est surtout beaucoup popularisé à partir de 1999 et des Sopranos, mais on n'a pas pris la peine de créer un terme distinctif... alors qu'effectivement, ce sont deux choses très différentes, une série comme CSI utilisant en réalité assez peu des possibilités du format série, un peu comme un jeu vidéo 16 bits qui sortirait sur console 32 bits :-))
RépondreSupprimerEt puis il y avait aussi une distinction naturelle (fonction du Network) entre série populaire et série plus "intello". Les séries de HBO au départ (genre: Oz), c'était ciblé sur un public plus cultivé que les séries de ABC ou Fox. Les Sopranos au début, ça n'avait pas autant de succès que les grosses machines comme Player, c'est venu petit à petit et c'est clair que leur succès à fait voler en éclat les codes du genre "série".
RépondreSupprimeril faut voir aussi que la série-sérielle est un phénomène beaucoup plus récent que la série en tant que telle
RépondreSupprimerEuh... là par contre je suis pas d'accord. C'est le format de tous les soaps, de Dallas et compagnie, que je sache... non?
(Le Prisonnier aussi, d'ailleurs)
Serious Moon >>> il me semblait que Les Sopranos avaient cartonné dès le début...
RépondreSupprimerGuic' >>> non, pas vraiment. Dans les soaps les intrigues sont certes suivies, mais les personnages évoluent très peu dans le temps (d'ailleurs l'action y est très lente). Et de plus, à quelques exceptions prêt (Dallas), le soap utilise le format 24 minutes, par le 52.
"Le premier âge d'or, c'est évidemment les années 90"
RépondreSupprimerN'importe quoi ! C'était 65-69 le premier âge d'or !, où tous les codes de la série à suspense furent posés sérieusement (après quelques initiatives dont Twillight Zone ou Secret Agent) : Mission Impossible, Star Trek, The avengers (chapeau melon...), Les envahisseurs, et j'en passe, avec le sommet Le prisonnier que même Lynch n'a pas réussi à dépasser. Scénario, photo; sujets politiques et sociaux, dramatisation, bande son, invention du teaser, des génériques, de l'épisode qui peut se voir seul mais qui appartient aussi à un continuum de saison, etc.
Mon cher Thomas : de vous lire !
Ca c'était plutôt l'Age de Pierre. Celui où tout a été inventé. Et de toutes les séries que tu cites, combien sont encore regardables aujourd'hui sans qu'on les trouve kitsches ou complètement datées ? A part Le Prisonnier ?
RépondreSupprimerAvec plaisir et régulièrement :
RépondreSupprimer- Mission Impossible, saisons 2 à 4 (les 2 avec Martin landau, la première avec Nimoy)
- The Avengers, époques 2 à 4 (en fait 3 à 5 mais la première en direct n'a pas été enregistrée...) les 2 avec Emma et l'arrivée de Tara
- Secret Agent et surtout tout Le Prisonnier
- un peu vieilli, mais certains épisodes encore terrifiants et magnifiques, bien que je les connaissent par cœur : Twillight zone, et quelques Alfred Hitchcock présente.
Soit quelques centaines d'heures quand même qui ont pris moins de rides que L&O SVU la première saison par exemple (Hargitay qui a piqué les tailleurs de DD Mc Call...)
Non, c'est un véritable âge d'or, crois moi.
Ca fait longtemps que je ne les ai plus vues, alors je te crois sur parole.
RépondreSupprimerHello Thomas,
RépondreSupprimerSuite à ton article, je me suis lancé dans le visionnage de la saison 1. Mais force est de reconnaître que ça tourne un peu à vide. J'ai jeté l'éponge après l'épisode 4 pour repartir vers la saison 4 d'Entourage.
Merci de m'avoir permis de gagner un peu d'espace sur le DD externe ;-)
Oh ben, de rien, ça sert à ça les copains :-)
RépondreSupprimerBon, note que ça s'arrange un peu en cours de saisons, les premiers épisodes ne sont pas les meilleurs. Mais bon, ça tourne rapidement en rond, et surtout la série devient assez vite baldwino-dépendante (je veux dire que les épisodes où Baldwin est moins présents sont aussi les moins bons).
aaahhh thom les avengers, série archi hyper culte sont encore très regardables (comme le prisonnier d'ailleurs en plus drôle), peut être parce que si totalement déjanté, décalé, excentrique... mais bon ce sont des séries anglaises, pas américaines !!!
RépondreSupprimerC'est vrai ça, au fait...
RépondreSupprimer'30 Rock', j'en avais entendu du bien... et puis non au final, ça ne m'a pas plus bouleversé que cela. Je pense qu'on est devenu extrèmement exigeant en matière de séries comiques (surtout depuis les Seinfeld, Friends, Spin City ou How I Met Your Mother) et qu'il y a 10 ans, cette série aurait cartonnée. Too late my friends.
RépondreSupprimerSinon, pour rebondir sur ce que disait Xavier:
"L'avantage de ces séries par rapport à celles (surement bien meilleures) qu'encense Thom, c'est que tu peux louper un épisode sans perdre le fil."
*********
Justement, voilà pourquoi je n'arrive pas à accrocher aux Experts, aux Cold Case ou FBI machin truc: on peut regarder chaque épisode indépendamment du dernier. Et je trouve que c'est d'une tristesse folle et que ça caractérise un manque d'ambition évident. Ils ne se compliquent pas la tache, travaillent à la chaine, tu sais rapidement qui sont les méchants, qui sont les gentils, un peu comme dans Scoobydo quand j'étais mome où tu savais très très vite qui était le coupable...
Et dans le genre hommage à Scooby doo, moi, je préfère Pushing Daisies :-)
RépondreSupprimerSans déconner... je ne serais pas aussi radical que toi (j'aime bien les Experts, qui use pas mal du second degré, j'apprécie la qualité de réalisation de Cold Case, qui est très bien fichue... bon par contre FBI, jamais accroché), mais je suis assez d'accord. Ce sont des séries qui n'exploitent pas du tout les possibilités du format (je crois que je l'ai dit plus haut). On est plus dans le téléfilm avec des héros récurrents que dans la série au sens littéral (ou littéraire) du terme. Du point de vue "sériel", les aventures d'Arsène Lupin en 1901 sont plus aboutie que les Experts...
Ah tout de même : je précise que mon commentaire ne s'applique pas aux Law & Order, qui témoignent d'une qualité d'écriture telle que franchement, on leur passe bien des choses ;-)
RépondreSupprimerAh mais loin de moi de dénigrer ses séries: leurs scénarios sont fous (les Experts je me demandent encore comment ils font après tant d'années). Disons que je trouve juste qu'ils ne s'embarrassent pas au final.
RépondreSupprimerEn gros, ils ont une trame (à tel moment on découvre un truc en plus, à tel moment le suspect fait une erreur, à tel moment Horacio remet ses lunettes, à tel moment on balance une chanson) qu'ils suivent plus ou moins à la lettre. Je suis caricatural mais c'est le but. :)
Tu oublies le moment où Horacio pose les mains sur ses hanches en remontant négligemment sa veste... ah non, merde, ça, c'est tout le temps :-)
RépondreSupprimer"il me semblait que Les Sopranos avaient cartonné dès le début"
RépondreSupprimerJe vivais aux Etats-Unis à l'époque où elle a commencé, c'était quand même assez confidentiel. Le phénomène de société, c'est venu plus tard.
Sinon, je ne me souviens pas que les épisodes des Avengers (super séries au demeurant) aient été "suivis" comme dans les séries modernes (je ne les ai pas tous vus). Pareil pour Misson Impossible (aussi excellente), si je me souviens bien le concept était justement que chaque épisode apportait sa nouvelle mission! Christophe va croire que je m'acharne mais j'ai l'impression qu'il exagère un tout petit peu :)
Pour moi la "série sérielle" (comme dirait remonte), avec intrigue fleuve sur plusieurs épisodes ça remonte vraiment aux années 1990, en fait à partir du moment où Twin Peaks a importé dans les séries sérieuses les règles du soap.
Comme dirait Thom! Pardon!
RépondreSupprimerJe n'ai pas parlé du Prisonnier, implicitement je voulais dire "à part le Prisonnier" qui à l'époque était je crois une série très à part de ce qui se faisait (d'où son côté mythique)
RépondreSupprimerJe ne crois pas que c'était de ça que parlait Christophe, Serious Moon. Il ne disait pas que les séries des années 60 étaient construites comme celles des années 90/00, il disait juste que c'était ça le premier Age d'Or :-) Il va sans dire que les séries ont connu un renouveau, dans la forme et dans les codes, dans les années 90... c'est bien pour ça que NYPD Blue, Twin Peaks, X-Files ou Profit ont à ce point marqué les esprits
RépondreSupprimerVous savez, Thom, je vais finir par me mettre à regarder des séries, juste pour le plaisir de participer aux débats du Golb !
RépondreSupprimerBBB.
C'est vrai que votre sagesse nous manque un peu !
RépondreSupprimerJ'arrive avec plus d'un mois de retard, mais je vais quand même laisser un commentaire que personne ne lira, histoire d'avoir le dernier mot: NCIS est une bonne série policière, qui évite les nombreux écueils du genre. Mais ce n'est pas ce qui me pousse à regarder la série.
RépondreSupprimerPas de quoi crier au génie, ok, mais c'est une série qui se regarde d'abord pour ses personnages hauts en couleurs, aux personnalités à la fois loufoques et attachantes (un vieux marine serial husband au passé douloureux, un jeune looser/séducteur obsédé fan de cinéma, un geek fan de jeux vidéos, une espionne sexy du mossad, un vieux lord anglais qui parle aux cadavres, et mention spéciale à Abby, mon perso préféré, la gothique scientifique la plus sympa jamais vue à la télé).
La force de la série tient dans cette galerie de persos qui sont tout sauf conventionnels, et dans les liens qui se nouent entre eux. Et aussi dans l'humour décalé présent dans bon nombre de scène. Les séries policières drôles ne sont franchement pas légion, autant ne pas bouder son plaisir quand on en trouve une.
Comment ça, c'était un billet sur 30 rocks?
Arrête... comment ils me l'ont flooder mon billet sur 30 Rock ! Christophe en rit encore :-)
RépondreSupprimerJ'arrive un peu après la bataille (et bien sûr, ce n'est pas pour parler de 30 Rock !).
RépondreSupprimerSur vos questions de "séries sérielles", comme vous dites, la réponse est simple, claire, et nette : la première série sérielle, si l'on exclut Le Prisonnier (feuilleton traditionnel, télésuite, comme ils disent là-bas), fut Hill Street Blues, en 1980. Un "cop-show" créé par l'auteur de Nypd Blue, dont on voyait les personnages évoluer au fil des enquêtes, idée totalement révolutionnaire à l'époque, puisque dans les séries des années 60/70 (Mission Impossible, par exemple), les personnages évoluaient assez peu, disposant par ailleurs de psychologies assez sommaires.
Il suffisait de demander !
Cordialement.
Vous n'avez de toute évidence rien compris à cette série. A votre décharge, c'est subtil, il faut maîtriser les références à la culture américaine, ou à l'actualité. Ce n'est pas pour rien qu'elle a autant de succès là-bas, contrairement à ce que vous laissez entendre. Mais vu de France, c'est parfois plus compliqué à comprendre. Les français ont tendance à croire qu'ils sont très exposés à la culture américaine, mais pas tant que cela et cela se ressens dans cet article, totalement à côté de la plaque.
RépondreSupprimerCordialement,
Karine.
Ah bon ? ça a "autant de succès" 30 ROCK ? parce que quand on jette un oeil aux audiences pas de quoi grimper aux rideaux (ça vaut pour toute la grille de NBC tu me diras), c'est pas Seinfeld.
RépondreSupprimerVous avez des exemples précis, Karine ? Car je ne vois pas de moment où une subtilité quelconque aurait pu m'échapper. 30 Rock n'est pas drôle et est on ne peut plus consensuelle... tous les contre-arguments ne sont pas bons ;-)
RépondreSupprimerQuelqu'un qui ne connaît rien à la culture pop américaine ne peut pas comprendre 30 Rock. C'est un fait. Dire que 30 Rock est "consensuel", c'est la preuve que l'on n'y entend pas grand-chose. A bon entendeur.
RépondreSupprimerRefrain connu mais une de fois plus aucun argument tangible...
RépondreSupprimerbon, la saison 4 a débuté sur canal+, et je me régale, cette série tient la distance en fait,elle n'est pas géniale mais je me marre toujours plus ou moins à chaque épisode, et parfois aux larmes.
RépondreSupprimeret puis j'adore tina fey et sa manière de faire semblant de se prendre au sérieux pour en fait se payer sa propre tronche constamment ^^
et à la longue il y a des petits éléments de Friends qui revivent dans cette série, finalement (dans la relation fey/baldwin, surtout).
Bref, je regardais par curiosité, je suis devenu plutôt accro ^^
C'est bien d'assumer sa perversion. Moi j'adore le SM. Cela dit adorer 30 Rock ça me choque, quand même ^^
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