[ALERTE : le taux de spoiler de cet article est de 100 % concernant les six premiers saisons de 24] Quoiqu'il advienne des audiences de la saison sept qui s'effritent un peu plus chaque semaine, quoiqu'il se passe par la suite, une chose est désormais certaine : la série la plus emblématique des années 2000 ne commettra pas la même erreur que la série la plus emblématique des années 90 - erreur consistant à s'étendre au-delà de la décennie dont elle cristallise toutes les obsessions. En somme : si NYPD Blue, entamée en 1993, a duré jusqu'en 2005, soit autant de saisons inutiles et répétitives qui débouchèrent sur une inévitable ringardisation... 24, pour sa part, devrait sauf surprise mettre la clé sous la porte au plus tard en 2010 (1), ce que personne ne regrettera tant il semble évident qu'après l'élection d'Obama elle mourra de sa belle mort.
Attention : je parle bien de série emblématique... et pas de meilleure série. Plus emblématique, donc... au sens où les deux séries évoquées, NYPD Blue et 24, ressemblent de manière troublante à des condensés tant des thèmes chers aux auteurs de séries de leur temps que des angoisses de leur époque - ce n'est évidemment pas un hasard si lancée en septembre 2001 (!) 24 n'a fait que s'assombrir au fil des saisons pour devenir de plus en plus étouffante et anxiogène. Le côté régulièrement visionnaire (un Président Noir ressemblant réellement à Obama, une anticipation stupéfiante de la Guerre d'Irak dans le Day 2...) renforce évidemment cet aspect, et ce n'est donc pas un hasard non plus si la noirceur et la désespérance grandissent au fil des années : ce n'est que le miroir fictionnel de la propre désespérance vers laquelle a nagé le peuple américain jusqu'à la fin des années Bush. Qui, symboliquement, sonne aussi nécessairement le glas d'une série qui ne peut de toute façon pas aller bien loin sous le règne d'Obama, tant elle est intrinsèquement liée au Président le plus détesté de l'histoire des Etats-Unis.
On ne peut évidemment pas préjuger de ce que donnera la saison sept avant de l'avoir intégralement visionnée (elle est encore en cours de diffusion jusqu'en mai), ce qui est sûr en tout cas c'est qu'en revoyant les six premières se distinguent clairement deux grands chapitres au sein de 24... deux trilogies imaginaires mais tout à fait pertinentes que l'on pourrait baptiser respectivement : The Rise & Fall of David Palmer (saisons 1 à 3) et The Impossible Redemption of Jack Bauer (saisons 4 à 6, qu'on peut étendre jusqu'à l'épisode intermédiaire intitulé - vous ne devinerez jamais - 24 : Redemption).
La première met en scène un candidat puis président relativement jeune et clairement inspiré de Clinton (2), l'heure est encore à l'espoir (mais plus pour longtemps) : c'est l'inconscient du peuple démocrate dépouillé de sa victoire de 2000 qui s'exprime ici, recréant le Président qu'ils auraient rêvé d'avoir, qu'ils méritaient même - puisque dès 2001 on sait que la victoire aurait dû revenir à Al Gore. On pourrait toujours m'accuser d'extrapoler... il n'empêche qu'il serait absurde de nier l'interdépendance permente entre les auteurs de la série et l'inconscient collectif américain, le second s'exprimant régulièrement à travers les premiers, et les premiers ayant au final clairement impacté le second pour rendre "crédible" l'idée d'un Noir à la tête du pays (les plus fins analystes politiques le reconnaissent, c'est vous dire...).
L'espoir donc... qui s'effrite un peu plus à chaque épisode, tant cette première trilogie parait rétrospectivement centrée sur la perte de l'innocence d'un homme politique qui, lavant plus blanc que blanc durant sa campagne, finira par démissionner pour éviter un scandale sans précédent. Menacé par un conflit mondial dès la seconde saison, régulièrement remis en cause par son entourage, victime d'une tentative d'assassinat... Palmer doit s'endurcir, voire riposter, et s'éloigne progressivement de l'image de sympathie et d'honnêteté qu'il véhicule au début de la série... comme finalement tous les Présidents de l'histoire occidentale, qui voient à un moment ou un autre leurs nobles idéaux se crasher face aux réalités politiques pour in fine se convertir à la cynique (et si mal nommée) realpolitik. L'image présidentielle en ressort finalement bien plus écornée que ce que le "culte de Palmer" chez les fans laisse entendre : la saison trois notamment montre un Président dont le fauteuil vacille en permanence, que le moindre petit connard avec quelques relations au Parlement peut empêcher de mener à bien sa politique, et qui finit, acculé, par mettre un terme à sa campagne de réélection afin d'éviter un scandale qui éclabousserait durablement l'opinion publique. Cette saison est d'ailleurs - et ce n'est pas un hasard - la seule à présenter une intrigue présidentielle parfaitement isolée de l'intrigue d'espionnage : les problèmes de Palmer n'y rencontrent quasiment jamais ceux de Jack Bauer, manière habile de suggérer à quel point le Président en fin de mandat est désormais déconnecté des réalités du sacrosaint "terrain". Ses rapport avec ledit Jack, leur évolution et leur complexité, forment d'ailleurs un genre de symbole de tout ce qui s'est mis petit à petit à déconner chez Palmer : on l'oublie un peu vite (Jack le premier), mais à deux reprises son super-ami le Président décide de le laisser le mourir, avec force larmes dans la saison deux (3) puis sans le moindre remord dans la saison trois.
Personnage d'une richesse incroyable, David Palmer n'avait besoin de personne pour laisser une empreinte indélébile dans la mémoire des fans... en revanche si son ombre plane encore aujourd'hui sur la série, c'est aussi en creux par rapport à tous ses successeurs. Car avec la mort de John Keeler (qui le remplace durant la saison quatre) c'est aussi la fin d'une époque : celle des Présidents "forts", contestés mais inspirant malgré tout le respect (voire l'admiration) à leurs adversaires (4))... et accessoirement le début de la seconde trilogie, toute autant dictée par l'inconscient collectif américain. C'est que dans le fond, du strict point de vue narratif, rien n'obligeait les scénaristes à virer Palmer : sept, huits saisons, ça faisait le temps de deux mandats, David aurait pu rester Président jusqu'à la fin de la série sans que ça dérange quiconque - d'autant qu'il en était de loin le personnage le plus populaire. C'était compter sans un détail plus important qu'il y parait : à partir de la saison quatre, la série ne sera plus diffusée en septembre mais en janvier. J'ignore si c'était voulu... mais le fait est qu'il n'y a pas eu de 24 durant la campagne Présidentielle de 2004, et lorsque la saison quatre débute, en janvier 2005, George W. Bush vient de prêter serment pour la seconde fois. Symboliquement, dans la série, le nouveau Président est républicain (ce n'est d'ailleurs jamais énoncé clairement, mais on sait que Palmer était démocrate - c'est dit au tout début de la saison un - et dans la saison trois c'est bien l'emblème du PR que l'on aperçoit dans le bureau du candidat Keeler).
Peut-on réellement s'étonner que la série devienne nettement plus sombre et violente à partir du moment où les républicains arrivent au pouvoir dans l'univers volontairement vague (temps, espace...) de 24 ? Peut-on plus ou moins s'étonner que la série atteigne des sommets de noirceur à l'instant précis où les démocrates viennent de subir une seconde défaite d'autant plus cuisante que celle-ci est au-dessus de tout soupçon ? Bien entendu, non. A partir de 2005, 24 va devenir le ver dans le fruit de Fox TV, une véritable machine de propagande anti-Bush (mais pas antirépublicaine, nuance) qui à chaque nouveau volet cognera un peu plus fort (et beaucoup plus finement) sur l'administration en place, poussant le vice jusqu'à inventer un Président largement inspiré de W. et joué par un acteur - Gregory Itzin - témoignant d'une ressemblance physique assez étonnante avec Richard Nixon. Message subliminal de la saison quatre ? Le gouvernement américain qui torture sans vergogne ni remords n'a pas grand-chose à envier à l'ennemi qu'il prétend combattre (amusant d'ailleurs qu'on ait reproché aux auteurs de faire l'apologie de la torture... alors que le parallèle fait entre le ministre de la défense laissant torturer son fils, soupçonné d'avoir des infos, et le terroriste prêt à supprimer le sien pour l'empêcher de nuire à ses agissements, est évident et particulièrement dérangeant). Message subliminal des saisons cinq et six ? Les néo-conservateurs sont les pires raclures que l'Amérique ait jamais portée. Message subliminal général ? Réfléchissez avant de voter, parce que franchement, entre Charles Logan le pleutre qui finit par trahir son pays, Wayne Palmer le faible victime d'un concours de manipulation entre ses conseillers... on n'a pas vraiment de quoi se réjouir. Ironie amusante : Noah Daniels, le Vice-Président de la saison six, qui passe d'abord pour un bourrin... apparait une fois Président comme le plus convaincant à ce poste depuis notre cher David. Ca ne manque pas de piquant.
Fatalement dans cette seconde trilogie le personnage de Jack Bauer joue un rôle autrement plus important et s'enrichit considérablement. Logique, tant narrativement que symboliquement : Palmer out il devient la figure centrale de la série ; le symbole Palmer hors-circuit, le symbole Bauer reste le seul raisonnablement viable pour enclencher la dimension tragique inhérente à 24. S'il y avait un fort côté shakespearien dans la chute de David, on atteint un degré de noirceur particulièrement élevé dans The Impossible Redemption of Jack Bauer. Non seulement ce dernier attire à lui les ténèbres avec une régularité et une violence sans pareil, mais encore achève-t-il sa mue en héros de tragédie antique : on sait presque toujours ce qui va lui arriver, que ça va finir mal, que ceux qui l'aiment mourront... et l'on assiste impuissant à son autodestruction programmée. Jusqu'ici, il restait un héros de roman noir relativement classique, qui sauvait les meubles tout en perdant chaque fois quelque chose... c'était triste, bien sûr, mais ce n'était pas super original non plus. Le final du Day 3, qui s'achève sur un plan fixe montrant Jack fondant en larmes, change la donne. A partir de là on entre dans un schéma différent, beaucoup plus subtil, consistant à pervertir (voire détruire) la figure traditionnelle du grand héros américain individualiste et bourrin façon Dirty Harry. Jack n'est plus un homme, ce n'est même plus un personnage : c'est un symbole branlant, un paradoxe sur pattes, à la fois héros avec lequel il vaut mieux être au moment de l'attaque terroriste et type qu'il vaut mieux éviter au quotidien sous peine de mourir dans d'atroces souffrances, solitaire mais toujours en quête des autres, insoumis mais finalement bon petit soldat toujours aux ordres. Car s'il prend des libertés avec les règles, il finit toujours aussi par rentrer à la CTU et par se rendre à ses supérieurs ; idem dans sa vie privée : que ce soit aux débuts de la série avec son épouse ou plus tard (et plus manifestement) avec Audrey, Jack ne porte jamais la culotte, il a le plus souvent l'air d'un petit garçon perdu attentant les instructions de sa maman, qui s'excuserait presque d'exister et se sent coupable en permanence - même quand il a fait un truc bien . Fort en gueule et ultra-efficace sur le terrain, égocentrique et altruiste à la fois, Jack n'a pourtant de cesse de révéler un caractère plutôt faible... pas étonnant qu'il finisse par devenir complètement suicidaire, vu le peu de respect qu'il a pour lui-même, sa vie ou son avis. Il perd tout peu à peu (la déchéance atteint son paroxysme à mi-saison cinq, lorsque sa fille lui annonce qu'elle ne veut plus le revoir), et comme si ça ne suffisait pas tout le monde passe son temps à l'utiliser.
Lui, est-ce qu'il se révolte ? Est-ce qu'il tente ne serait-ce qu'une seconde de prendre le contrôle de sa vie ? Au contraire : au début du Day 6, Jack attend sagement qu'on le tue, et il fera tout pour mourir durant cette journée. Agissant presque toujours par vengeance ou pour des raisons personnelles depuis le Day 4, devenu un vulgaire un assassin depuis le Day 5 (au terme duquel il finit par abattre froidement un homme désarmé)... voilà qu'il n'est plus qu'une carcasse souffrante. S'il a déjà sévèrement commencé à s'enfoncer dans la première trilogie, il va définitivement cesser de remonter à la surface dans la seconde, au point qu'on s'interroge sur l'état dans lequel on va le retrouver dans le dernier diptyque (oui, je parie que ce sera un diptyque, vous verrez) et sur les motivations qu'il aura pour agir... car d'une certaine manière, on peine à comprendre comment son sens du devoir peut-être toujours aussi aigu après une telle décennie de cauchemar (5) Beaucoup auraient craqués... beaucoup ont craqué à sa place. C'est la thématique centrale de la saison trois : le double. Jack s'y dédouble perpétuellement, d'abord avec Chase (son partenaire, surnommé par chez nous Baby Jack), puis avec Tony (qui viole toutes les règles pour protéger sa femme), et enfin avec le "méchant" de service... ancien agent assoiffé de vengeance après que le gouvernement l'ait laissé tomber aux mains de la milice serbe, qui donne une image assez saisissante de ce que serait devenu un Jack qui aurait mal tourné. Sans doute d'ailleurs est-ce ce personnage, Stephen Sanders, qui a donné l'idée aux auteurs d'abandonner finalement Jack aux mains des chinois... et sans doute aussi est-ce le choc de leur rencontre qui maintient (temporairement ?) Jack dans le camp de son administration.
Quoiqu'il en soit, rien d'étonnant à ce que la naissance d'un nouvel espoir au coeur de l'Amérique entraine à plus ou moins brève échéance la fin d'une série dont la noirceur et le pessimisme seillaient si bien à l'ère Bush. Reconnaissons d'ailleurs aux scénaristes d'avoir senti le vent tourner : dès l'été 2007 (soit donc un bout de temps avant l'obamania mondiale), on savait que la prochaine saison s'ouvrirait sur le procès de Jack pour actes de torture, et que la cellule anti-terroriste serait dissoute. On pouvait difficilement faire plus à propos. Les chutes d'audiences de l'année sont elles aussi significatives : le public américain est las, et on le comprend, de quelque chose qui lui rappelle les heures les plus sombres de son histoire récente. Il attend désormais autre chose, on ne peut pas vraiment lui en vouloir et mieux : on ne peut que l'en féliciter. Témoignage sordide et brillantissime des années Bush, 24 a largement rempli sa mission et peut désormais reposer en paix. Dans l'idéal, même, il faudrait que ça s'arrête dès cette année et que Jack Bauer meurt (de toute façon quelle autre fin crédible peut-on attendre ?). Il y a très peu de chances que les choses se passent ainsi, bien entendu. Mais on m'autorisera à le regretter.
24, créée par Robert Cochran & Joël Surnow (FOX)
👑 Saison 1 (2001-02)
👍 Saison 2 (2002-03)
👍👍 Saison 3 (2003-04)
👍👍 Saison 4 (2005)
👍👍👍 Saison 5 (2006)
👍 Saison 6 (2007)
✋ 24 : Redemption (2008)
(1) Vues lesdites audiences il n'est pas encore exclu que la saison 7 soit la dernière, même si ce genre de choses c'est un peu comme une candidature à la Présidentielle : on dément jusqu'à ce qu'on ne puisse plus nier...
(2) Le Clinton des débuts, s'entend... avant qu'il ne dilapide son capital sympathie démentiel dans une campagne de caniveau pour sa femme...
(3) Je me moque... alors que cette scène de la saison 2 est sans doute l'une des plus émouvantes de la série !
(4) Il est d'ailleurs souvent suggéré que Palmer et Keeler, quoiqu'opposés politiquement, entretenaient avant leur campagne des rapports amicaux
(5) Dans la chronologie de la série neuf ans et demi se sont écoulés entre le Day 1 et le Day 6
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(2) Le Clinton des débuts, s'entend... avant qu'il ne dilapide son capital sympathie démentiel dans une campagne de caniveau pour sa femme...
(3) Je me moque... alors que cette scène de la saison 2 est sans doute l'une des plus émouvantes de la série !
(4) Il est d'ailleurs souvent suggéré que Palmer et Keeler, quoiqu'opposés politiquement, entretenaient avant leur campagne des rapports amicaux
(5) Dans la chronologie de la série neuf ans et demi se sont écoulés entre le Day 1 et le Day 6
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Pas facile de vous lire, lorsqu'on a fermé les yeux après l'avertissement ! Mais je suis sûr que c'est très bien, ce billet !
RépondreSupprimerBBB.
:-)
RépondreSupprimerTout ça est vraiment très bien vu. Le truc sur les deux trilogies, quand je l'ai lu j'ai trouvé que tu extrapolais mais finalement quand on prend connaissance de ta lecture ça parait presque évident.
RépondreSupprimerBémol ? sur la notation je suis moyennement d'accord. Je trouve que tu sous-notes la 4 (la meilleure avec la 1 à mon avis), que tu sur-notes la 6 (vraiment mauvaise). Mais c'est un détail.
J'ai pour ma part commencé à regarder la 7. Je ne donnerai pas de scoop mais en ce qui me concerne, c'est pour l'instant la meilleure saison depuis longtemps.
J'ai déjà pas mal révisé mon jugement sur la 4 (que je n'avais pas trop aimé la première fois). Cela dit je continue à la trouver un peu linéaire, malgré ses qualités.
RépondreSupprimerJ'ai décidément hâte de voir la 7......
Linéaire, c'est vrai, mais aussi la plus subtile de toutes je trouve.
RépondreSupprimerTrès bonne analyse.
RépondreSupprimerPour ma part, j'ai du voir les 6 premiers épisodes de la saison 6 et basta. Disons qu'après la saison 5, dur dur de suivre le mouvement.
Sinon (hé hé hé), hier soir, j'ai tenté une expérience, savoir si un navet valait un prozac (la réponse est plutôt négative...). J'ai pris mon courage à deux mains et ait visionné cette immonde bouse qu'est "Alien VS Predator - Requiem". Je me doutais que ça serait mauvais mais à ce point... bref... Et qui ai-je vu? L'interprète de Michelle Dessler (viiiii la Michelle!!!!). Plus dure sera la chute...
Serious Moon >>> tu parles du fait que les terroristes soient réellement des islamistes, sans pour autant que la série tombe dans le simplisme manichéen, c'est ça ?
RépondreSupprimerDoc >>> de toute façon la saison 5 plaçait la barre tellement haut que j'ai un peu fait mon deuil quand à la possibilité d'en voir une meilleure ! Cela dit, sans vouloir te pousser au vice, la saison 6 n'est pas si mauvaise, passé un début effectivement très poussif. Il y a de bonnes choses, des personnages psychologiquement très fouillés... même si c'est sûr que c'est la plus faible de toutes.
Reiko Aylesworth, aka Michelle, qui s'est d'ailleurs fait saqué de 24 après sa rupture avec Sutherland (Le Golb, futur blog pipole ? :-) s'en est quand même sortie... elle joue dans la saison 5 de Lost :-)
> "tu parles du fait que les terroristes soient réellement des islamistes, sans pour autant que la série tombe dans le simplisme manichéen, c'est ça ?"
RépondreSupprimerOui :)
Roh merci Thom pour cette news people (qui doit plus être si fraiche comme news m'enfin bon, il n'est jamais trop tard).
RépondreSupprimerSerious Moon >>> c'est vrai que c'est bien vu, a leur évite de replonger dans le "faux complot islamiste" de la saison 2, c'est d'ailleurs probablement la saison la plus réaliste à ce jour. Sauf que ça ne la rend pas moins linéaire. Note que je l'aime beaucoup, mais c'est vraiment action-action-action, il manque beaucoup des fondamentaux de la série, notamment les intrigues de couloir, qui ne surviennent qu'à la toute fin...
RépondreSupprimerDoc >>> rendons à César ce qui lui appartient : j'ai appris cette info à l'époque, dans ce grand magasine d'information qu'est Télé Star :-)
> "Il y a très peu de chances que les choses se passent ainsi, bien entendu"
RépondreSupprimerJe confirme !
http://seriestv.blog.lemonde.fr/2009/03/25/24-bauer-rempile-pour-une-saison-8/
Je crois que Kiefer l'a fait exprès pour me faire chier ^^
RépondreSupprimerPlus sérieusement... on le savait depuis quelques temps, même si ce n'était pas officiel. Merci pour le lien bourré le lien bourré de spoilers enfoiré de ta race , sinon :-) De plus il y a une petite exactitude dans l'article, qui dit à la fin que les audiences reste sensiblement identiques au saisons précédentes... tout est dans le "sensiblement", car faire des audiences comme celles de la saison 6, à l'époque considérées comme un gros échec, ce n'est pas réellement faire un carton...
Merci d'avoir prévenu, je ne lierai donc pas ce billet, qui pour une fois parlait d'autre chose que de bouquins à la con sans images.
RépondreSupprimerTu veux dire que tu n'as toujours pas vu la saison 6 ? J'ai l'impression que ça fait un an que tu nous dis ça :-)
RépondreSupprimerJe vois pas trop quoi rajouter, on en a déjà tellement parlé... mais bon, je vais bien trouver un ou deux trucs à dire...
RépondreSupprimerTrès bon article, bien sûr... je suis d'accord avec à peu près tout (ce n'est pas juste pour ça que c'est un très bon article, hein...)
Seule petite divergence, pour moi, toutes les saisons de 24 méritent un 6/6... sauf peut-être un 5/6 pour la 6°, à cause des premiers épisodes trop "énormes"... 24 est peut-être la seule série que je trouve quasi-parfaite de bout en bout... De la saison 1 à la 5, je n'ai rien eu à redire, j'ai été scotché à mon fauteuil de la première seconde du premier épisode à la dernière du dernier... fasciné par la qualité des intrigues, des rebondissements, des personnages et de leurs relations.
Ah oui, une chose dont on a pas parlé et qui m'a frappé dans la saison 1 [ne surtout pas lire la suite si vous ne l'avez pas vu, ça gâcherait tout le suspens] à la fin de la saison 1, je me disais : les scénaristes ne sont peut-être pas racistes, mais pas mal misogyne, tout de même... les femmes s'en prennent plein la gueule... le traître de l'agence... c'est la seule femme... la fille de Bauer... le fout dans la merde... et à la fin, c'est sa femme qui meurt, alors qu'elle n'a rien demandé à personne...
Dans la saison suivante, c'est la femme de Palmer qui s'avère être la "méchante" de son entourage... quant à Michelle Dessler, une femme plutôt bien... ça finira on ne peut plus mal pour elle. Bref, dans 24, mieux vaut pas être une femme...
Une petite divergence... qui souligne juste que tu es encore plus fan que moi ^^ Personnellement 5/6 pour la saison 6... ça ne m'effleurerait pas l'esprit, je ne peux pas décemment mettre cinq à une saison dont j'ai réussi à prévoir le moindre micro-rebondissement deux épisodes avant (ma grande crainte est d'ailleurs que ce soit pareil pour la 7, que ce ne soit pas juste une saison un peu plus faible, mais le concept général qui s'est usé...). Je reconnais cependant que la 6 a d'autres qualités (notamment un second degré qu'on ne retrouve dans aucune des autres). Idem pour la 2... celle qui a été la plus éprouvante à revoir pour moi, parce qu'autant la seconde partie est extraordinaire, autant la première, la bombe, l'improbable retour de Nina, sans parler de Kim qui après avoir découvert que son boss est un psychopathe se perd dans le désert... franchement, j'aurais bien zappé la moitié des épisodes, et pourtant je suis meilleur public en matière de séries qu'en matière de musique ou de bouquins :-/ Kim... heureusement qu'elle est belle, sans quoi elle serait intolérable pour le spectateur (d'ailleurs il parait qu'elle revient dans la saison 7 et que cet évènement n'est pas étranger au dépot de bilan de plusieurs grands compagnies d'assurances américaines...)
RépondreSupprimerLe truc sur les filles... c'est pas faux. En même temps sont-elles plus ou moins mal loties que les hommes, je ne suis pas sûr. Niveaux traitres, lâches, connards de la Division et autres lourdauds... je pense qu'on est pas loin de la parité... heureusement il y a Michelle... ah quel bonheur ! je suis fan de Michelle, tu m'étonnes que Kiefer ait craqué. J'ai crié de plaisir en la découvrant dans la nouvelle saison de Lost (même si elle a pris un coup de vieux).
Enfin pour conclure : "dans 24, mieux vaut pas être une femme"... en même temps, mieux vaut pas être du tout dans 24, c'est beaucoup trop dangereux, et surtout si tu es un mec sympa ouh là là, ça double tes chances de mourir avant 40 ans :-)
(oui oui, je sais que tu ne voulais rien savoir... mais bon, moi, je ne sais rien, rassure-toi, et la guest de Kim dans la saison 7, je ne crois pas que ce soit un rebondissement majeur, ce serait même incompréhensible qu'on ne la revoit jamais, c'est quand même la fille de Jack... et l'alibi sexy de la série
RépondreSupprimerOui Thom, j'ai pas voulu spoiler le truc mais c'est vrai que la Michelle a pris un sacré coup de vieux (cf toujours le film tout pourri d'hier soir ^^')
RépondreSupprimerpar contre, je rebondis sur les propos de G.T. "c'est sa femme qui meurt, alors qu'elle n'a rien demandé à personne"
Ah si, c'était une chieuse finie, donc à la trappe! Mouais, bon... nan mais fallait bien trouver une raison quoi! Pis c'est vrai que de souvenir elle était bien casse-bonbon mme Bauer...
Kim alias miss catastrophe revient dans la saison 7? Bon une chose est sûre, après avoir fricotée avec un puma, un futur manchot et son analyste, on a un peu hâte de savoir ce qu'elle va encore nous faire XD
Je n'aurais pas dit mieux à propos de Terry ! Au début ça va, mais elle devient rapidement insupportable. Bon ok, elle est enlevée, battue, violée, a un accident de voiture, perd la mémoire... mais c'est pas une raison pour être aussi horripilante quoi, merde. Audrey il lui arrive bien pire dans les saisons 4-5, et elle fait chier personne, elle est toujours motivée, prête à filer un coup de main. Pour sûr Jack n'a pas perdu au change ^^
RépondreSupprimerA propos de Kim [ATTENTION SPOILER ] d'après ce que j'ai lu elle fait juste une guest en fin de saison 7, pas sûr qu'il lui arrive grand-chose. Ce qui est surtout angoissant c'est que la rumeur dit qu'elle redeviendra un personnage principal dans la saison d'après... raison de plus pour souhaiter que ce soit une blague et que 24 s'arrête à la saison 7 :-)
Kim et son t-shirt moulant dans la saison 1, Kim et son décolleté plongeant pour échapper aux loups dans la saison 2, Kim et sa frange qui change de longueur tous les deux épisodes dans la saison 3...
RépondreSupprimerJe te trouve bien sévère, pour moi ça fait partie des FONDAMENTAUX de la série :)
Ah ! Le truc avec la frange, je pensais être le seul au monde à l'avoir remarqué :-D
RépondreSupprimerNon, elle est là prête à être avalée dans son écrin cartonné, mais je prends mon temps.
RépondreSupprimerCet hiver, je digère la découverte de Dr House (j'attends souvent quelques saisons avant de me jeter, c'est trop dur d'attendre 2 nouveautés seulement chaque semaine) et Boston justice (plus léger, mais des dialogues et situations aux petits oignons).
Il faut se dire que je n'aie encore ni vu Lost, ni Desperate, alors tu sais, la saison 6 de 24 ^^
Tu rigoles ? le truc avec la frange, ça mériterait un groupe facebook (idée à bosser tiens)
RépondreSupprimerChristophe >>> Mazette ! Mais qu'attends-tu ? tu passes tes soirées à lire des livres sans images ou quoi ??? ;-)
RépondreSupprimerSerious Moon >>> genre : pour le retour de Kim Bauer et de sa frange ?
Je savoooouuuuure ^^
RépondreSupprimerEn effet tu peux vivre sans avoir vu la saison 6, et même Desperate Housewives. Lost c'est plus dur, quoique tu peux vivre aussi en ayant sauté un quart de chacune des trois premieres saisons!
RépondreSupprimerC'est vrai Desperate n'a jamais retrouvé l'éclat des débuts, mais bon, ça reste quand même très efficace.
RépondreSupprimerPour Lost, si je me rappelle bien, il y a eu un conflit entre les auteurs et le network... qui voulait d'une série qui durerait éternellement, alors que les auteurs ne voulaient pas dépasser les six saisons. C'est ce qui explique qu'à partir de la 4 le nombre d'épisodes et réduit, et les longueurs avec...
J'ai pas compris? en quoi ça l'explique?
RépondreSupprimerJuste une petite chose concernant les femmes de 24, c'est vrai que le niveau n'est pas terrible et ça ne s'arrange pas non plus avec Martha la folle dans la saison 5. Bien sûr, il reste toujours Chloé, prête en toute circonstances à aider Jack en désobéissant aux ordres, mais pour l'alibi sexy il faudra repasser !
RépondreSupprimerSerious Moon >>> ça explique les longueurs du début et leur disparition (les scénaristes ont eu gain de cause entre temps)
RépondreSupprimerSerious Moon >>> Chloé embelli quand même vachement entre la saison 3 et la saison 6. Mais tu n'as pas tort ^^ Et on ne parlera pas des potiches qui défilent à la CTU de saison en saison, la sublime Nadya mise à part, qui surgit dans la 6 pour venger cinq générations de femmes au sein de la série.
Oh là... Cissie bien sûr (je me suis encore fait avoir par le copier / coller :-(
RépondreSupprimerPas grave, je t'aime quand-même !
RépondreSupprimerEuh... ma femme te passe le bonjour :-/
RépondreSupprimerSouhaite-lui bon courage de ma part !
RépondreSupprimerAH ok !
RépondreSupprimereuh, je réagis un peu tard là, mais cet article est censé remplacer l'edito?
RépondreSupprimerCissie >>> pourquoi dont ? Tu as des infos que j'ignore...?
RépondreSupprimerXavier >>> remplacer... je n'y ai pas pensé comme ça, mais c'est pas bête. Il y a eu deux éditos deux semaines de suite... faut bien se reposer ;-)
Si tu savais !
RépondreSupprimerVraiment d'accord avec toute ton analyse. Et très bel article. Tu as un don pour parler des séries en profondeur, c'est dingue.
RépondreSupprimerConcernant 24, au delà de tous tes dires, c'est également une série qui marque un tournant énorme dans l'histoire de la série américaine. Scénaristiquement, le côté temps-réel a surpris mais surtout subjugué tout le monde. Qui aurait parié sur la cohérence d'une telle série quand l'annonce a été faite? Peu de monde. On imaginait les erreurs, les enchainements de plans foireux, le minutage aléatoire. Et pouf, la première saison débarque et c'est les fabricants de bavoir font des bénéfices records! Car oui, le téléspectateur est tenu en haleine comme jamais, tout est raccord (hormis le passage jour/nuit et nuit/jour, mais ceci a toujours été raté dans les autres saisons), tout est milimétré, l'histoire tient en haleine et le suspense est démoniaque!
Les saisons de 24 sont toutes de bonnes saisons. On va du bon (2&4) au très bon (3&5). Reste le souci de la saison 6, le jour le moins réussi clairement. Cependant, c'est surement la saison qui demande à être vue le plus rapidement possible. La suivre lundi après lundi n'a pas trop d'intérêt tant la série en manque. Mais enchainé en une semaine, à raison de 4 épisodes par jour (faut bien que le chomage serve à qqch des fois non?), ca passe bien.
Maintenant, la saison 7. Sans rien dévoiler (j'insite!), elle est d'excellente tenue. 24 est vraiment de retour, Jack reste le même, continuant sur la lancée de ce que tu as expliqué. Finalement, je me dis que la grève des scénaristes a été une aubaine pour l'intrigue de 24 car en reportant le Day 7, le scénario a été complètement bouclé avant le tournage (même si parfois réécrit sur qqs passages). Et ca se sent.
Saison 8 donc apparemment? Bonne nouvelle. De toutes façons, je pense que cette série a encore de l'avenir. Certes elle disparaitra en 2010 mais elle reste aujourd'hui une des toutes dernières séries d'action. A l'époque, on trouvait encore des Alias, des Prison Break ou des The Shield. Aujourd'hui, The Shield s'arrête, Prison Break est oublié, etc, etc...
Ben... Prison Break s'arrête aussi, en fait ^^
RépondreSupprimerC'est intéressant ce que tu dis de la saison 6, et sans doute vrai d'ailleurs ; le problème c'est que celle pour laquelle a on peine le plus à s'intéresser. En fait, un peu comme la 2, elle a un gros ventre mou au milieu. Enfin je dis ça... et en même temps quand elle a été diffusée je l'ai plutôt bien aimée, c'est plutôt quand je l'ai vue la seconde fois que j'ai un peu tiqué (enfin non : j'ai juste baillé). Pourtant paradoxalement... je garde des souvenirs plus forts de la 6 que la 2... Tom Lenox et Daniels y sont sans doute pour beaucoup...
Pour les compliments... merci. J'en connais au moins un qui va être content dans deux, trois semaines, quand on fera une spéciale John Locke ^^
Non non Thom, tu as affaire à un lecteur mécontent qui s'est levé mercredi matin en se disant chouette c'est edito et qui a la place se retrouvé avec un truc sur une série à la con!!!
RépondreSupprimerMonsieur,
RépondreSupprimerNous sommes désolés, notre rédaction ne peut donner suite à votre demande de remboursement. En effet, il n'est inscrit nulle part sur nos formulaires d'abonnement que nous nous engageons à fournir un édito par semaine. Ce qui, d'ailleurs, arrive rarement.
Cependant, afin de vous prouver notre bonne foi et de parvenir à un arrangement, nous vous propos une Golb Card, en guise de dédommagement. Cette carte, designée par le grand Mr Kiki et réservée à l'Elite de nos lecteurs, vous permettra de passer un mode premium et d'obtenir le privilège d'être chez vous sur Le Golb.
En espérant vous avoir apaisé,
Bien cordialement,
Gérard Thomas, rédacteur en chef.
Une spéciale Locke? Si c'est pas du bon gros teasing ça! :p
RépondreSupprimerOuah la classe! merci Mr Gérard! je la recois quand, ma Golb Card? on a des reducs sur Amazon avec??
RépondreSupprimerTwist >>> l'article est écrit mais c'est pas pour tout de suite (d'ailleurs je prie pour qu'on ne voit pas trop Locke d'ici là)... Le Golb a un planning chargé, avec le Classement des albums la semaine prochaine... et puis bien sur, faudra que je me fende d'un édito, sinon Xavier va faire la gueule :-)
RépondreSupprimerhttp://lh5.ggpht.com/_Uxg-z1DnraA/ScvNVxFSlgI/AAAAAAAAAnY/vR1Lpm6T3_Y/CarteGOLD.png
RépondreSupprimerBien sûr que tout le monde en prend plein la gueule... mais dès les débuts de la série :
RépondreSupprimer1. il a un traître qu'on cherche toute la saison 1... c'est la femme de l'agence
2. Le personnage qui sera "sacrifié", de manière inattendue... sera la femme de Jack
3. Le personnage le plus intrigant et machiavélique dans l'entourage de Palmer... sa femme...
C'est tout de même pas rien...
Cher Gérard, permettez moi d'avoir deux légers doutes:
RépondreSupprimer- sur ma carte, il est inscrit que je peux écrire tout ce que je veux quand je le veux sur les commentaires. Or c'est ce que je fais depuis que je connais le Golb, et ce sans la moindre carte
- Vous venez de mettre en lien la carte dans les commentaire, triple buse, ce qui fait que tout le monde peut maintenant l'avoir! bravo la soit disant Elite des lecteurs!
Franchement Mr Gérard, Thom ferait mieux de vous virer...
G.T. >>> je ne dis pas que ce n'est pas vrai sur la saison 1... juste que sur l'ensemble de la série, ça me semble équitable, surtout que les méchants à quelques rares exceptions près sont toujours des hommes (et qu'il y en a trois, quatre par saison...).
RépondreSupprimerXavier >>> parce que tu crois vraiment que tu pouvais jusqu'ici écrire tout ce que tu voulais ? Ca veut juste dire que tu n'es pas un garçon extrême et radical, car je t'assure jusqu'à il y a quelques heures il y avait plein de choses que je ne t'aurais potentiellement pas pardonné ^^
J'ai passablement décroché avec la dernière saison... Mais j'attends la 7 avec impatiencce, on sait jamais! Et ce rédemption, là, ça à l'air pas mal...
RépondreSupprimerMouais... Redemption n'a rien de mémorable, c'est un gros épisode qui sert surtout à "dire au revoir" à Lenox et Daniels (qui apparemment ne seront pas dans la saison 7) et à montrer un peu du pays (ça se passe en partie en Afrique). En fait, il a été conçu de manière à n'avoir aucun impact sur la saison 7... ce qui du coup le rend dispensable, un peu comme un prologue ou mieux : un avant-propos :-) En plus avec ce format on prend vraiment conscience du côté pas du tout réel du temps réel... parce que dans les épisodes normaux les coupures pubs sont indolores, mais là, forcément, les 2 heures théoriques durent une heure vingt... j'en aurais bien fait un article, mais je crains qu'il n'y ait pas grand-chose à en dire de plus. Le format est trop compact pour qu'on puisse retrouver le suspens et la complexité de la série. Je peux dire que ça ne laisse rien présager de bon pour le film à venir...
RépondreSupprimerCes derniers temps, j'avais l'impression que la lassitude avait gagné les rangs des fans de cette série. Apparemment, il n'en est rien.
RépondreSupprimerFélicitations pour cet article très intéressant et cette vision toute personnelle, qui change des bêtises rebattues qu'on trouve partout à son sujet.
Merci, Bloom. C'est vrai qu'on lit de plus en plus de commentaires de fans déçus, ces derniers temps. Je ne sais pas trop quoi en penser... peut-être rejoindrai-je leur cohorte lorsque j'aurais vu la saison 7 (ce n'est toujours pas fait depuis cet article). Ce qui est sûr c'est que je ne vais certainement pas renier l'ensemble...
RépondreSupprimerArticle très pertinent et bien écrit même si je ne suis pas toujours d'accord. La saison 7 montre à quel point 24 a su se renouveller. C'est à mon avis une des meilleures. Et 11 millions d'audience en moyenne pour une 7° saison, beaucoup de série peuvent s'accrocher (genre Lost ou Heroes )
RépondreSupprimerOui, j'ai vu que finalement, malgré les dires des producteurs à un moment les audiences étaient plus qu'honnorables (mea culpa). C'est sûr que comparé à Heroes... mais bon, Heroes ne compte même pas, personne n'a vraiment compris comment une série aux audiences aussi pathétiques pouvaient avoir été reconduite.
RépondreSupprimerLost a morflé cette année, c'est vrai... mais bon, il ne restait plus qu'une saison, et je crois avoir lu que la série avait fait gagner tellement d'argent à ABC que niveau direction des programmes, on aurait fait preuve de courtoisie (les produits dérivés, il est vrai, cartonnent...).
Merci pour votre visite !
(P.S. : au moment de taper le commentaire, dans "Sélectionner le profil", l'option "NOM/URL" permet de se "nommer" - il n'est en effet pas nécessaire de remplir le champ URL)
RépondreSupprimer(une petite précision, car je sais qu'il est rare que les commentaire cordiaux ET anonymes le soient volontairement (anonymes, bien sûr ^^) - c'est généralement la faute de la présentation un peu ambigüe sur cette plateforme...)
J'avais dit plus haut que j'étais sûr que c'était très bien, je le confirme : c'est très bien.
RépondreSupprimerJe suis assez d'accord, en revanche, comme je ne sais plus qui plus haut, je vous trouve bien tendre avec la saison 6, ennuyeuse au possible, bourrée d'incohérences, au point qu'elle en devient risible.
Je n'ai d'ailleurs pas eu le courage d'aller jusqu'au bout. Si quelqu'un avait l'obligeance de me raconter la fin, histoire que je puisse embrayer sur la saison 7...
BBB.
En gros et de mémoire...
RépondreSupprimer*** ATTENTION SPOILER SAISON 6 ***
Jack et Bill se lancent dans une opération suicide qui ne leur coûte pas la vie, ils sauvent Josh, laissent le père de Jack pour mort, puis Jack file chez les Heller en espérant "enlever" Audrey, se fait sermonner par son père (à elle) et disparaît dans la nature tel un cowboy solitaire.
*** FIN DU SPOILER ***
C'est bon ou bien vous vouliez que je reprenne un peu plus tôt ?
Mille mercis, ce sera tout.
RépondreSupprimerBBB.
Un peu facile et très incomplet. Jack Bauer héros du peuple démocrate ? Et puis quoi encore ? Je veux la même drogue que vous !
RépondreSupprimerBauer est au contraire le héros républicain traditionnel. Amoché, mais qui défend toutes les nobles et belles valeurs de l'Amérique puritaine. Cela ne rend pas la série moins intéressante (la réalisation, entre autres, est de très bonne facture), mais cela rend un peu abscons votre curieux argumentaire. Car Bauer est à peu près autant de gauche que Clint Eastwood...
Il faudra me dire à quel endroit de l'article il est écrit que Bauer est de gauche. Bauer est plutôt un anarchiste. Et l'article sous-entend plutôt que la série envoie des messages subliminaux de tendance démocrate. On est loin du schématisme que vous croyez voir dedans!
RépondreSupprimerJ. >>> avez-vous au moins pris la peine de lire l'article jusqu'au bout ? Apparemment non.
RépondreSupprimerLil' >>> absolument...
L'alcool fait des ravages...
RépondreSupprimerCes marrants ces commentaires, quand même...
RépondreSupprimerJe n'ai pas le droit d'écrire ce que je veux sur le sujet que je veux, en fait ?
T'écris ce que tu veux mais sans alcool la fête est plus folle!
RépondreSupprimer:-)
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